jeudi 28 avril 2016

Non Merci! Usine de Production Marijuana au Bar Adventure!?

Usine de Marijuana et Bar Adventure!?
Productions Marijuana à Lac Simon!?
Une Bonne Question!


 La page Facebook "Lac Simon"



L'Ange-Gardien pourrait avoir son usine de marijuana
Marie-Charlotte Paquette
4 janvier, 2016
La Petite Nation

L'entreprise désirant produire de la marijuana à des fins médicales, Joie verte pourrait s'installer dans le parc d'affaires de L'Ange-Gardien, après avoir abandonné l'idée de s'établir à Plaisance.

Le projet estimé à 2,2 millions $ pourrait apporter une vingtaine d'emplois spécialisés dans le domaine. Le président, Vincent Saint-Arnaud ainsi que le vice-président des opérations, Yves Saint-Arnaud se sont penchés sur une alternative à l'emplacement de Plaisance, après s'être vus refuser par Santé Canada l'autorisation de produire dans le village. Par la suite, les propriétaires ont cherché un terrain agricole plus reculé, mais aucune option correspondant à leur budget ne s'est présentée.

Une opportunité s'est présentée à L'Ange-Gardien. «Dernièrement, nous nous sommes surtout concentrés sur le choix du terrain», affirme le vice-président, ajoutant que le processus est bien enclenché.

Durant les deux derniers mois, les propriétaires ont cependant mis les bouchées doubles sur la soumission des formulaires et la mise au point des analyses biochimiques de leur produit. «C'est plus long que nous pensions au départ», souligne le vice-président. L'usine est en processus d'acquérir les permis de production, séchage, entreposage et distribution de marijuana médicale. La demande de licence initiale prévoyait une production de 1,5 tonne de marijuana par année.

Une seule entreprise produisant de la marijuana médicale détient tous les permis nécessaires dans la province. Hydropothicaire, basée sur le terrain de l'ancien Botanix de Masson-Angers est en activité depuis le printemps dernier, après l'obtention de toutes les autorisations nécessaires. PLUS >>>



Pas de production de marijuana à Plaisance
Benoit Sabourin
29 décembre 2015
Le Droit

L'entreprise Les Productions Joie Verte, qui souhaite développer le créneau de la marijuana thérapeutique, n'installera finalement pas ses pénates sur le territoire de la municipalité de Plaisance. LeDroit a appris qu'elle chercherait plutôt à s'établir à L'Ange-Gardien, dans le parc d'affaires.

Le projet initial de l'entreprise, estimé à 2 millions de dollars, prévoyait l'aménagement d'une usine de fabrication dans l'ancienne fromagerie du village de Plaisance. Une forte majorité de citoyens de l'endroit s'était montrée favorable au projet lors d'une consultation publique organisée en novembre 2014, mais Santé Canada avait finalement refusé la demande de l'entreprise au printemps dernier, jugeant que des résidences étaient situées trop près du bâtiment ciblé.

Les Productions Joie Verte, avec à sa tête l'homme d'affaires Vincent St-Arnaud, tentait ainsi depuis le printemps dernier de chercher une propriété ailleurs à Plaisance afin d'y aménager son usine de production de pot à des fins médicales.

Or, il semble que les efforts pour relocaliser le projet ont été vains. La mairesse de Plaisance, Paulette Lalande, indique que l'entreprise a cessé ses démarches de recherche. Pour la municipalité, il s'agit d'une bien mauvaise nouvelle, dit-elle.

«Ils n'ont pas été capables de trouver un terrain ici. Ils ont regardé partout parce qu'ils voulaient que ça se passe à Plaisance. C'est sûr que c'est une déception. La population était derrière le projet et ça représentait des emplois directement chez-nous», a indiqué Mme Lalande.

Un oeil sur L'Ange-Gardien

L'entreprise examinerait maintenant la possibilité de faire l'acquisition d'un terrain dans le parc industriel de la municipalité de L'Ange-Gardien, non loin de la route 309.

Le président des Productions Joie Verte, Vincent St-Arnaud, n'avait pas retourné l'appel du Droit en fin de journée, mardi.

Le maire de L'Ange-Gardien, Robert Goulet, confirme toutefois que sa municipalité a récemment été approchée par l'entreprise qui souhaitait connaître les détails en matière de réglementation dans le parc d'affaires.

Les promoteurs auraient l'intention d'acquérir un terrain appartenant déjà à un entrepreneur qui a pignon sur le chemin Industriel. Le maire Goulet se dit favorable à un tel projet.

«On voit ça d'un très bon oeil. Ils sont les bienvenus chez-nous. Ce sont des emplois de plus et il n'y a rien d'illégal là-dedans. De toute manière, c'est sujet à toutes sortes d'approbation de la part du ministère de la Santé», a-t-il indiqué.

Les Productions Joie Verte prévoyait initialement créer une vingtaine d'emplois. Les travailleurs embauchés produiraient de la marijuana à des fins thérapeutiques, s'occuperaient du séchage de l'herbe, de son entreposage, de même que de sa distribution.

Hydropothicaire, dont l'usine est aménagée dans l'ancienne pépinière Botanix, à Masson-Angers, demeure pour le moment le seul producteur autorisé au Québec à produire et vendre de la marijuana et de l'huile de cannabis à des fins thérapeutiques. Ils sont 15 entreprises à détenir leur licence de Santé Canada en Ontario. PLUS >>>


Radio Canada
12 mars 2015

L'installation d'une usine de production de marijuana, dans la municipalité de Plaisance, est repoussée en raison d'un refus de Santé Canada.

Le ministère de la Santé fédéral ne veut pas autoriser l'entreprise Joie-Verte à aménager une telle usine au sein de l'ancienne fromagerie de Plaisance, dans la Petite Nation.

L'emplacement de la structure, qui est actuellement désaffectée, est situé trop près des résidences estime Santé Canada.

La petite municipalité d'un millier d'habitants tient néanmoins à ce que le projet voit le jour.

Les hommes d'affaires Yves et Vincent St-Arnaud rencontreront la Ville, demain, pour tenter de trouver un site adéquat, dans un secteur plus rural.

« Cette semaine, il va y avoir une rencontre avec les promoteurs du projet et les gens de notre Service de l'urbanisme pour tenter d'identifier des endroits probables, puis leur permettre d'approcher les propriétaires et voir s'il y a la possibilité qu'ils puissent faire l'acquisition de la propriété en question », explique le directeur général de Plaisance, Paul St-Louis.

Le projet Joie-Verte est évalué à plus de 2 millions de dollars et pourrait entraîner la création d'une vingtaine d'emplois.

Ces travailleurs produiraient de la marijuana à des fins thérapeutiques, s'occuperaient du séchage de l'herbe, de son entreposage et de sa distribution. PLUS >>>


Le vice-président et le président des Productions Joie vert, Yves et Vincent St-Arnaud 

L'usine de marijuana Joie verte veut s'installer à Plaisance
Marie-Charlotte Paquette
le 03 janvier 2015
La Petite Nation

Les citoyens ont accueilli comme un cadeau de Noël le projet d'une usine de marijuana médicale dans leur municipalité, fin novembre. Les Productions Joie verte comptent embaucher 18 personnes et investir de près de 2,2 millions $ à Plaisance.

Si elle obtient sa licence de production, Joie verte s'occupera de la production, du séchage, de l'entreposage ainsi que de la distribution de la marijuana, en tant que médicament prescrit. La demande de licence prévoit une production de 1,5 tonne de marijuana par année. L'entreprise veut s'établir dans l'ancienne Fromagerie de Plaisance, en y apportant tous les correctifs nécessaires à la sécurité des lieux et du produit. Alors que la façade sera celle d'une entreprise «ordinaire», il y aura un véritable bunker à l'intérieur, aussi solide que le coffre-fort d'une banque, a signalé le président de la compagnie, Vincent St-Arnaud. L'entrepreneur s'est fait rassurant : l'établissement sera surveillé 24/24 par une firme reconnue et les patients recevront leur prescription par la poste et non à l'usine.

Les représentants de Joie Verte, dont son président, ainsi que son vice-président, Yves St-Arnaud, ont affirmé vouloir embaucher une main-d'œuvre de proximité et prioriser les fournisseurs de la région. Selon l'échéancier présenté, le recrutement des employés débuterait en mars. Des postes seront à combler au centre d'appel, à la production, en administration et en comptabilité. Le salaire minimum proposé par Joie verte est de 15$ de l'heure.

Les Productions Joie Verte
prévoient obtenir leur licence de production dès le mois de mai, pour commencer les opérations en juin. PLUS >>>
 

mercredi 27 avril 2016

La Nouvelle Politique de Communication de Lac-Simon Crée des Remous

!!!!!!!!!!!!OMG!!!!!!!!!!!



Émission Solide comme le Roch104,7 Outaouais
mercredi 27 avril 2016 | Durée : 11:18

Écouter l'extrait audio "Les élus de Lac-Simon doivent-ils demander la permission au maire avant de parler aux médias?" Le conseiller municipal Michel Lavigne est responsable des communications de la municipalité de Lac-Simon

Voici le verbatim de l’entrevue réalisée par Roch Cholette auprès du Conseiller Michel Lavigne :

Roch Cholette : Il est 11h49 et je vais me rendre au Lac-Simon.  On connait cela dans notre région. Bientôt, bien du monde vont aller se baigner là-bas, vont aller en villégiature. Je vais aller rejoindre le conseiller municipal et responsable des communications au Lac-Simon, Michel Lavigne.  Bonjour M. Lavigne.

Conseiller Michel Lavigne : Cholette, vous allez bien?

Roch Cholette :  Ben oui, merci d’être là! Vous êtes gentil!

Conseiller Michel Lavigne :  Ça me fait plaisir!  En passant, là, pour les gens, le lac a calé en fin de semaine.  C’est parti pour la belle saison!

Roch Cholette : M. Lavigne, avez-vous demandé au maire si vous pouviez me parler?

Conseiller Michel Lavigne :  Eh bien oui, j’ai demandé au maire si je pouvais vous parler! Parce que là, je parle d’un dossier qui concerne les affaires municipales, alors, dans ce contexte-là, on informe le maire pour qu’il soit au courant qu’on va parler sur un dossier au nom de la municipalité dans son ensemble et non au nom personnel.  Et donc, oui, c’est fait, j’ai avisé le maire et on en a discuté, Oui!

Roch Cholette : Méchante dictature!!!

Conseiller Michel Lavigne : Ben non, faut pas appeler cela une dictature. En fait, c’est la politique et puis cette politique-là est dans le cadre d’un gros travail qu’on a fait pour améliorer nos communications qui d’ailleurs, faisait l’unanimité de la table de tous des conseillers.  D’ailleurs, il y a eu beaucoup d’efforts  pour….  … (..)  On a un nouveau site web qu’on a développé…  On publie un infolettre 3 à 4 fois par année…. (…)

Roch Cholette : Ok ok.. ce n’est pas de cela que je veux parler…  M. Lavigne, votre politique c’est que si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit en aviser, avant la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.

Roch Cholette :  ÇA AUCUN BON SENS !!!

Conseiller Michel Lavigne :  Oui, Ben ça du bon sens, dans le sens que c’est pour informer le maire. On dit de l’aviser pour l’informer!  On ne demande pas la permission puis le maire ne dicte pas dans cette politique-là quoi dire.

Roch Cholette :  Ah ok.. le maire a pas un mot à dire dans le fond. On fait juste l’aviser!

Conseiller Michel Lavigne :  Oui oui, c’est pour l’aviser parce qu’il faut qu’il soit au courant des dossiers.  Pis encore là, c’est quand qu’on doit parler

Roch Cholette :  Ben voyons donc

Conseiller Michel Lavigne :   C’est quand qu’on doit parler à propos d’un dossier municipal au nom du Conseil municipal dans son ensemble.  Puis ça empêche pas les gens, d’allez…depuis ce matin, comme dans l’article du Droit de Monsieur Benoit Sabourin qu’il y a des conseillères qui se sont exprimées.  Ils l’ont faites puis ils s’expriment en leur nom personnel

Roch Cholette :  eh eh…arrêtez… attendez…

Conseiller Michel Lavigne :  Ça va continuer pis ça va se faire encore.

Roch Cholette :  Non, non…. Arrêtez… arrêtez…cela là…. en leur nom personnel

Roch Cholette :  Les deux conseillères qui sont citées, c’est parce que ce sont des conseillères municipales.  C’est pas en leur nom personnel… c’est au nom… c’est parce qu’elles sont des conseillères municipales.   En politique cela, ça existe pas cela en ‘au nom personnel’  Alors, ces deux conseillères-là ont parlé parce qu’elles sont en désaccord avec la politique.  Parce que là, vous, vous êtes en train de me dire que c’est la GESTAPO de l’information à Lac-Simon ou est-ce qu’un élu…

Conseiller Michel Lavigne :  Absolument pas… Absolument pas.. c’est pas ce que je vous dit

Roch Cholette :  ou est-ce qu’un élu…

Conseiller Michel Lavigne :  Ben voyons donc… mais pas du tout.. c’est pas ce que je vous dit.  Mais attendez là, vous me sortez  terme… là… la Gestapo! Ben voyons donc…  Écoutez, ces personnes-là qui ont parlé, ont leur a clairement expliqué lors du Conseil le but de la politique puis si vous regardez la politique dans son ensemble, il n’y a pas de dictature puis il n’y a pas de baîllon du tout d’aucune façon. C’est juste qu’on demande que le maire soit informé lorsqu’il y a une intervention au niveau des médias.  Et c’est normal!  Monsieur, on est dans une petite municipalité ici.   On a pas une organisation qui permet, on a pas une organisation qui nous permet d’avoir une grande, un paquet de monde qui s’occupe des communications et qui coordonne tout cela.  Alors c’est le maire qui doit voir à tout cela.  Monsieur, c’est tout petit ici!   Le maire est à la municipalité 8 heures par jour et plus …5 jours par semaine puis c’est lui qui voit à tous les dossiers alors je pense que c’est absolument normal dans ce contexte-là, qu’il sache ce qu’il se passe.   Il dicte rien à personne.  La politique ne dit pas qu’il dicte rien à personne. Il veut simplement être informé de cela.. c’est tout

Roch Cholette :  Ben.. qu’il sache ce qu’il passe.. il ne le sait pas?   Alors, pourquoi faut l’aviser AVANT de faire l’entrevue d’abord?

Conseiller Michel Lavigne :  Ben c’est parce que s’il y a des retours de cela, il faut qu’il le sache ce qu’il en est… de quoi on a parlé.  C’est lui qui va être contacté éventuellement…

Roch Cholette :  le maire?  Monsieur Lavigne.. Monsieur Lavigne…

Conseiller Michel Lavigne :  On lui demande pas… regardez la politique là…  C’est pas que le maire va dicter quoi dire!

Roch Cholette :  Le maire… Monsieur Lavigne, dites-moi... pour vous… vous êtes conseiller municipal. Dans votre tête à vous… le maire, c’est-tu votre boss?
 
Conseiller Michel Lavigne : 
Ben, le maire.. oui, c’est lui le maire, c’est lui qui gère…

Roch Cholette :  C’est votre boss!!! Ben.. ok…là on a un méchant problème vous et moi.  Si vous croyez que le maire c’est votre boss, vous ne comprenez pas votre rôle!

Conseiller Michel Lavigne :  Écoutez, c’est la façon de travailler!   Ça devient… On est élu, je suis d’accord que ce sont les citoyens qui sont nos patrons mais en même temps que quand on est là, il faut qu’il y ait quelqu’un qui dirige l’organisation et puis c’est le rôle du maire de diriger puis c’est le maire.. qui écoutez

Roch Cholette :  Ben non non non.. diriger l’organisation, ça c’est  l’administration.  Vous êtes un conseil élu. Le conseil est souverain là… pis chacun est indépendant pis chez vous en plus ya pas de parti politique.  Ya quelque chose que le maire a dit qui m’a scié les deux jambes. Puis une des raisons, y défend sa politique le maire qu’il a fait adopter là. Il se défend de vouloir  contrôler l’information.  Non non non, ce n’est pas cela.  Ya dit… là.. là écoutez… Ya des conseillers qui ne connaissent pas tous les dossiers.  Est-ce que c’est vrai cela?

Conseiller Michel Lavigne :  Ben oui, ça peut arriver parce qu’effectivement si vous appelez un autre des conseillers aujourd’hui que moi concernant la politique des communications, il n’a peut-être pas toutes les informations.

Roch Cholette :  Arrêtez tout de suite Monsieur Lavigne.  Une minute, Me dites-vous là, Monsieur Lavigne que la politique de communication a été adoptée au Conseil.  Bon

Conseiller Michel Lavigne : Oui!

Roch Cholette :  Vous êtes en train de me dire qu’il y a du monde qui ont voté là-dessus puis qu’ils ne la comprennent pas!

Conseiller Michel Lavigne : Ils la comprennent, Monsieur, c’est pas ce que j’ai dit.  J’ai dit qu’ils ne sont pas en mesure d’avoir tous les détails pour répondre à une entrevue comme celle que vous portez actuellement

Roch Cholette :  mais pourtant ont voté POUR?

Conseiller Michel Lavigne :  ben, ils ont voté POUR parce qu’ils la comprennent mais de là d’essayer de faire face aux détails que vous soulevez

Roch Cholette : Quels détails?

Conseiller Michel Lavigne :  Ya peut –être pas toutes les informations?

Roch Cholette : Quels détails? Quels détails que je vous pose!  Je vous ne pose pas de détails

Conseiller Michel Lavigne :  Ben parce que vous allez dire qu’ils sont baillonnés. Vous avez juste à lire la politique et vous allez voir que c’est pas cela!

Roch Cholette :  D’accord, alors dites-moi. Si un conseiller qui décide de me parler AVANT d’aviser le maire, parce que je vais la relire….   si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier DOIT en aviser, AVANT la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.

Conseiller Michel Lavigne :  Monsieur Cholette, voudriez-vous lire le paragraphe qui précède celui-là?

Roch Cholette :  Allez-y?

Conseiller Michel Lavigne :   Vous ne l’avez pas?

Roch Cholette :  Non! Je ne l’ai pas devant moi!

Conseiller Michel Lavigne :  Donc, vous ne l’avez pas lu?

Roch Cholette :  Non! Je ne l’ai pas lu

Conseiller Michel Lavigne : Bon, c’est l’article 5.2 :  La déclaration des membres du conseil:
À titre de participants aux décisions prises lors des  séances du conseil, chaque membre du conseil possède le privilège de faire des déclarations.  Toutefois, ces déclarations demeurent d’ordre personnel aussi longtemps qu’il n’a pas reçu le mandat officiel du maire de parler au nom de l’ensemble des membres du conseil municipal.

Roch Cholette : Ben oui, vous me parlez lors des réunions du Conseil. Ce n’est pas de cela que je parle, je parle des médias moi.

Conseiller Michel Lavigne : Non, non, je ne parle pas dans des réunions du conseil là moi. Ce qu’on vient de dire là, c’est que de parler au niveau des fonds publics là. Faut avoir le mandat pour parler au nom de l’ensemble, au nom de l’ensemble du Conseil

Roch Cholette : Quand un conseiller s’exprime, il ne parle pas au nom du Conseil.  Je suis d’accord avec vous mais ça veut pas dire qu’il faut qu’il avise le maire avant de parler. Moi, là, ma question, il doit aviser le maire avant la tenue de l’entrevue. On s’entend que c’est cela que ça qu’a dit la politique.  Ok, parfait.   Dites-moi Monsieur Lavigne, quelqu’un qui ne respecterait pas cela… qui me donne un entrevue SANS aviser le maire AVANT la tenue de l’entrevue, qu’est-ce qui arrive.

Conseiller Michel Lavigne : Ben, il arrive.. il arrive rien Monsieur parce que vous savez comme moi que c’est une politique de communication, c’est un espèce de parcours qu’on suggère aux gens.  La politique elle n’a pas de conséquence.  C’est cela, ce n’est pas un règlement.  On a passé un règlement à ce sujet-là. On propose comme dans toute politique, on propose une façon d’agir. C’est tout

Roch Cholette : Ah ok.. ah… Non…

Roch Cholette : Ah..ok.. ben dans le fond… c’est pas… bien… c’est-à-dire que c’est une politique qui s’applique pas.


Conseiller Michel Lavigne :  Ben dans le fond, ya personne de baillonnée… je m’excuse mais il n’y pas de dictature à Lac-Simon.  Pis là, vous sautez sur un exemple comme celui-là, un texte de 3 lignes pour venir nous dire qu’il y a de la dictature chez nous. Ben voyons donc.

Roch Cholette :  Monsieur Lavigne… Vous me le confirmer…  Vous me confirmer.. que c’est exactement… à mon sens pis je parle pour moi là.  C’est à mon sens, exactement la conséquence de votre politique.  Je suis content de voir qu’il n’y a aucune conséquence par exemple si quelqu’un ne la respecterait pas bien que.. est-ce que je comprends bien que chez vous, il y a des conseillers qui sont exclus du comité pléniers

Conseiller Michel Lavigne :  Oui, ya des conseillers chez nous qui sont exclus du comité pléniers

Roch Cholette : Dites-moi donc pourquoi?

Conseiller Michel Lavigne : Ben, je peux vous donner un peu l’historique de cela.

Roch Cholette :  Rapidement

Conseiller Michel Lavigne : Ben rapidement, je peux vous dire que ils sont venus, ben premièrement, quand on a établi le conseil en novembre 2003, à la première plénière, tout le monde a reçu, ben… les responsabilités au niveau des comités ont été distribués.  Ça bien fonctionné jusqu’en novembre 2004. Puis là, en novembre 2004, ya eu des plaintes qui ont été portées qui ternissaient la réputation puis qui jetaient un doute sur le maire et ses agissements.   Puis ya eu des plaintes qui ont été jugées non fondées.   Ces plaintes là ont été portés à l’intention. Ya eu une première plainte qui a été porté à l’intention de l’escouade Marteau puis qui sont revenus puis que c’était non fondée.  On est revenu à la charge avec une autre plainte à la SQ qui ont fait enquête très profond puis qui ont dit qu’il n’y avait aucune allégation et on a continué comme cela à vouloir faire des choses.  Puis on a participé à un article de la Gazette. J’espère que vous l’avez lu celle-là.  Qui venait dire que la municipalité de Lac-Simon et ses gens était un endroit ténébreux, un endroit ténébreux ou règne un climat d’intimidation, un endroit pour faire la fête et ou les comportements illégaux sont permis. et je cite encore, et je rajoute.. on craint que la SQ ferme les yeux et refuse d’agir. Alors, cela, c’était ce à quoi, ces deux conseillères-là ont participé à cet article-là.. Alors la confiance n’y était plus et ces personnes-là, le maire a décidé de les enlever parce que la confiance n’y était plus et il y avait des informations confidentielles prises en plénières qui n’étaient plus respectées.

Roch Cholette : Mais M. Lavigne.. la raison pour laquelle je vous pose la question c’est que vous me dites qu’avec la politique de communications, il n’y aura pas de conséquences si quelqu’un la briserait.  Moi, je vous pose la question, êtes-vous bien certain que vous n’allez pas simplement exclure quelqu’un qui ne respecterait pas la politique du caucus préparatoire?

Conseiller Michel Lavigne : Ben ben.. Pas dans le contexte de cette politique là.  Là c’est un cas…. Ben écoutez.. regardez… Faut regarder le cas dans son ensemble puisqu’est ce qui a découlé de cela.

Roch Cholette : Vous pourriez les menacer…

Conseiller Michel Lavigne : Ces personnes-là ont pas été exclues de cela conséquemment à la politique.

Roch Cholette : D’accord… je comprends mais est-ce que vous avez porté. est-ce que vous avez déposé une poursuite contre les deux conseillères qui auraient dites des faussetés

Conseiller Michel Lavigne :
Non! 

Roch Cholette : Ah bon… ok. Parfait.

Conseiller Michel Lavigne : Non! NOn

Roch Cholette : Merci beaucoup M. Lavigne!

Conseiller Michel Lavigne :
Ça m’a fait plaisir. Bonne journée

Roch Cholette : Oui, aurevoir!  ALors Michel Lavigne, il est conseiller municipal et responsable des communications à Lac-Simon.   À vous de juger!

Euh.. je vous relis le paragraphe…. Si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit en aviser, avant la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.



*****************


La nouvelle politique de communication de Lac-Simon crée des remous
Benoit Sabourin
26 avril 2016
Le Droit

La nouvelle politique de communication de Lac-Simon sème la division autour de la table des élus.

Un article du document fraîchement imprimé exigeant que les échevins avisent le maire Jacques Maillé avant d'accorder des entrevues aux médias suscite la grogne des conseillères Chantal Crête et Odette Hébert, les deux membres du conseil à avoir voté contre l'adoption de la nouvelle politique lors de la séance du mois d'avril.

Celle-ci résume les balises à respecter en matière de communication au sein de la municipalité de Lac-Simon. Les rôles des différents intervenants y sont notamment inscrits, tout comme les dispositions entourant les publications minicipales officielles.

C'est essentiellement le point suivant qui fait rager les élues Crête et Hébert: «Si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit aviser, avant la tenue de l'entrevue, le maire, qui par son titre est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d'assurer un meilleur suivi des dossiers», peut-on lire dans le document.

De la censure, dit une élue

Ce passage a fait bondir la conseillère Hébert. «La petite clause que vous ajoutez à votre politique, ça ressemble tout simplement à de la censure, ou du contrôle de l'information, ou (c'est) pour bâillonner certains individus», a lancé cette dernière au maire Maillé en pleine séance du conseil.

Lac-Simon fait bien de se doter d'une politique de communication - surtout avec l'émergence des réseaux sociaux -, mais la clause en question brime le droit d'expression des élus, plaide Chantal Crête.

Celle-ci rappelle que Mme Hébert et elle sont exclues des comités et des plénières de la municipalité depuis octobre 2014. Le conseil avait évoqué un «lien de confiance brisé» pour justifier cette décision à l'époque. On faisait référence à la participation des deux élues à un reportage choc de la Montreal Gazette portant sur la vente du Domaine des Pères Sainte-Croix.

«Ça ne tient pas la route comme politique et je n'ai pas l'intention de m'y plier. Mon interprétation de la chose, c'est que ce n'est pas une interdiction de parler, mais c'est une étape de plus qu'on vient mettre pour rendre mon travail d'élue plus difficile à réaliser pour bien informer la population sur les sujets chauds», affirme Mme Crête.

Le maire réplique

Le maire Maillé se défend pour sa part de vouloir contrôler l'information émanant de Lac-Simon. Il affirme que ce type de procédé se fait ailleurs, dans d'autres administrations, afin d'assurer la bonne livraison de l'information. Sept-Îles et Saint-Colomban, dans les Laurentides, entre autres, disposent d'une politique similaire, dit-il.

«Il y a des conseillers qui ne connaissent pas tous les dossiers. [...] Ce qui est important, c'est de donner les bonnes informations aux médias pour bien informer. [Les conseillères] peuvent parler, mais c'est en leur titre personnel.» PLUS >>>

mercredi 20 avril 2016

Le Club de Golf Montpellier sera fermé cet été

 Pas de golf à Montpellier cet été
Benoit Sabourin
20 avril 2016
Le Droit

Il n'y aura pas de saison 2016 au Club de golf Montpellier-Lac-Simon. Le propriétaire des lieux, l'ancien numéro 44 du Canadien de Montréal, Stéphane Richer, n'a pas l'intention d'ouvrir le site pour la nouvelle saison.

C'est ce que confirme Rachelle Demers, la courtière immobilière auprès de Sotheby's International Realty Quebec qui est en charge de la vente du parcours de 18 trous.

«Le golf n'ouvrira pas cet été avec Stéphane Richer. S'il y a un acheteur rapide, ça pourrait se faire parce que le terrain va continuer d'être entretenu, mais ça n'ouvrira pas avec Stéphane Richer», a indiqué Mme Demers, sans vouloir donner plus de détails sur les motifs de cette décision.

En novembre dernier, l'ancien hockeyeur vedette a remis le Club de golf en vente au coût de 1 998 000 $. Le parcours de 6032 verges, menacé de fermeture l'an dernier, avait tout de même ouvert ses portes il y a 12 mois après qu'une entente de location-achat ait été conclue entre M. Richer et l'homme d'affaires gatinois Daniel Déziel.

Certaines conditions de l'entente n'ont cependant pas été respectées à temps, si bien que M. Richer a décidé de remettre sa propriété sur le marché.

Dans le camp des élus de Lac-Simon et de Montpellier, la déception est palpable. Le golf représente un attrait touristique de marque en période estivale, fait remarquer Stéphane Séguin, le premier magistrat de Montpellier.

«Le golf, ce sont des emplois et du tourisme. C'est l'économie du nord de la Petite-Nation qui va en souffrir. On est extrêmement déçu de la situation», dit-il.

Lui et Jacques Maillé, le maire de la municipalité voisine de Lac-Simon, ont demandé des explications à M. Richer, mais sans succès.

«On a envoyé des lettres et nous avons téléphoné à M. Richer pour connaître ses raisons, mais nous n'avons jamais eu de réponse. On ne comprend pas du tout cette fermeture parce que l'été passé, on nous avait dit que ça avait bien été et on nous avait garanti que ça resterait ouvert.»

Selon Rachelle Demers, des acheteurs potentiels viendront visiter la propriété sous peu. PLUS >>>


Le Club de golf Montpellier sera fermé cet été
Jessy Laflamme
19 avril 2016

Stéphane Richer n'a pas l'intention d'ouvrir le Club de golf Montpellier cet été.


Son terrain de golf de 18 trous est en vente depuis déjà quelques mois au coût de 1 998 000$. La courtière immobilière de Sotheby's International Realty Quebec qui s'occupe du dossier du golf, Rachelle Demers, a confirmé que M. Richer n'ouvrira pas le site cet été.

Elle mentionne également que des acheteurs visiteront l'endroit cette semaine. Si la vente se conclut rapidement, il se pourrait que le site ouvre pour la période estivale. Toutefois, elle précise qu'il existe plusieurs sortes de zonage pour ce terrain de golf.

Par exemple, les futurs acheteurs pourraient construire des maisons unifamiliales, des condos ou un parc de véhicules récréatifs. Les acheteurs pourraient donc décider de fermer le terrain de golf pour se concentrer au développement résidentiel. Un projet intégré jumelant le terrain de golf et des constructions résidentielles est aussi une possibilité.

Les maires de Montpellier et de Lac-Simon, Stéphane Séguin et Jacques Maillé, ont rédigé chacun une lettre au joueur 44 du Canadien pour savoir pourquoi il n'ouvrait pas son golf cet été. Les deux hommes n'ont pas obtenu de réponse à leurs lettres ni à leur demande de rencontrer M. Richer.
«C'est vraiment un effet de surprise, mentionne M. Séguin, car Stéphane Richer nous avait garanti que le golf serait ouvert cet été même si l'endroit est à vendre.»

Les deux politiciens déplorent cette fermeture. «C'est une perte d'emplois pour la région», affirment-ils. PLUS >>>

mardi 12 avril 2016

Domaine Valdie 321N & L'Auberge Petite-Nation @ St-André-Avellin

Le Domaine Valdie 321N est un projet résidentiel en nature, situé à  St-André-Avellin, dans la Petite-Nation, en Outaouais.






********************
 
  
L'Auberge Petite-Nation subit une cure de jeunesse
Marie-Charlotte Paquette
4 janvier 2016
La Petite Nation


Après seulement quelques mois sur le marché comme reprise de finance, l'Auberge Petite-Nation a trouvé preneur, en janvier. C'est l'homme d'affaires Patrick Esmond qui a pris en mains l'endroit, pour la somme de 217 000$, ayant conclu une entente avec le Syndic de faillite.

L'auberge, ainsi que le pub qui est opéré par le propriétaire-locataire Yan Montagne ont été rénovés au cours du printemps et de l'été. L'établissement d'hébergement a ouvert ses portes cet été. L'ouverture du pub, maintenant appelé Le St-André est prévue pour la mi-janvier. Des spectacles y seront présentés régulièrement.

M. Esmond estime maintenant à près de 100 000$ les investissements ayant été requis pour effectuer le rajeunissement du bâtiment, soit 60 000$ de plus que la somme prévue lors de l'achat. Encore 50 000$ seront investis pour la rénovation du troisième étage, qui sera transformé en loft au cours de l'hiver. Par la suite, le propriétaire budgète entre 5000$ et 6000$ par an pour maintenir le bâtiment en état.

Cinq employés à temps plein travaillent en ce moment à l'auberge ou au pub. M. Esmond estime que trois autres emplois à temps partiel seront nécessaires, peut-être le double lors des soirs de spectacle. «Le Théâtre des Quatre-sœurs a laissé un gros vide à sa fermeture, déplore le propriétaire. Ce ne sera jamais pareil, parce que ce n'est pas le même type de salle, mais je pense que c'est réalisable.» Pour ce qui est du bar et café, un effort particulier sera déployé pour acheter localement, soutient M. Esmond, dont c'est la philosophie.

«Le but est de donner un service, souligne-t-il. On part la place et on veut que ça reste. Il faut que les gens nous encouragent.» L'accent sera mis sur les soirées 5 à 7 ainsi que sur les forfaits d'hébergement comprenant la location de skis ou de vélo. PLUS >>>



L'Auberge Petite-Nation a un nouveau propriétaire
21 janvier 2015

Radio Canada

Le nouveau propriétaire de l'Auberge Petite-Nation, située à Saint-André-Avellin, souhaite relancer les activités de l'établissement. Le bâtiment sera modernisé, afin d'accueillir plus de voyageurs.

L'homme d'affaires Patrick Esmond est l'ancien propriétaire du bar Coco Bongo, à Lac-Simon. Il prendra possession de l'immeuble le 24 février prochain et il assure que l'auberge demeurera un symbole de la région.

« Je rassure la mairesse que ça va rester. [...] On va développer un forfait ski de fond hébergement et l'été, avec vélos », précise-t-il.

En novembre dernier, la coopérative, qui faisait fonctionner l'auberge, a déclaré faillite. La dette accumulée avoisinait les 600 000 $, en plus d'un manque de liquidité à court terme d'environ 70 000 $.

Patrick Esmond croit néanmoins que l'acquisition de l'auberge est un bon investissement à court et à long terme.

« C'est un investissement de 217 000 $. J'ai environ 35 000 $ à 40 000 $ à mettre en investissement, au niveau du grenier, pour les chambres que je veux faire. À part ça, tout est fait, tout est neuf ici », explique-t-il.

L'auberge gardera son nom et comptera 19 chambres à coucher, dont quatre qui seront construites prochainement.

Des activités culturelles à relancer

L'auberge abritait un café bistro et présentait une cinquantaine de spectacles par année.

M. Esmond se veut rassurant pour les mélomanes : il a bien l'intention de poursuivre la vocation culturelle de l'auberge.

La nouvelle salle de spectacle pourrait porter le nom du Petit café de la Grange.

« On va agrandir un peu et il y aura des spectacles. D'après moi, on va faire un spectacle par mois pour commencer, on verra avec le temps », note-t-il.

L'Auberge Petite-Nation devrait ouvrir ses portes en mars. Le propriétaire donnera plus de détails sur les autres activités qui se dérouleront sur place, à partir du 1er juin. PLUS >>>


Auberge Petite-Nation: la mairesse espère un miracle
Benoit Sabourin
09 novembre 2014
Le Droit

Les problèmes financiers de l'Auberge Petite-Nation inquiètent la mairesse de Saint-André-Avellin, Thérèse Whissell.

«J'espère un miracle. C'est important pour le milieu.»

Mme Whissell a réagi vendredi au dossier de l'Auberge Petite-Nation. Le conseil d'administration de l'organisme a annoncé jeudi soir que l'endroit serait placé dès lundi sous la protection de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité. À partir de ce moment, le c.a. disposera de 30 jours pour effectuer une révision de ses états financiers. Par l'entremise d'un avis de proposition concordataire, la coopérative tentera de trouver un scénario rentable afin de convaincre ses créanciers de lui donner une chance de survie. Autrement, ce sera la fermeture définitive des portes.

Avec une dette totale frôlant les 670 000$, l'Auberge Petite-Nation fait face à un manque à gagner à court terme de 70 000$ pour l'année en cours.

«C'est une douche froide pour Saint-André-Avellin et pour la région. Nous n'avons pas de places pour loger les gens. L'Auberge avait des places d'hébergement. Nous allons loger notre monde à quel endroit? [...] Au niveau culturel, il y avait des spectacles. C'était un lieu de rassemblement pour les gens», déplore la mairesse Whissell, qui a frais en mémoire la fermeture du Théâtre des Quatre Soeurs en 2011. L'immeuble, acheté plus tôt cette année par la municipalité au coût symbolique de 1$, doit être rasé prochainement.

La municipalité de Saint-André-Avellin s'était engagée pour les cinq premières années d'opération de la coopérative de solidarité à offrir une subvention de 5000$ annuellement, rappelle la mairesse. La municipalité avait fait savoir au c.a. de l'organisme qu'elle continuerait à verser cette somme au moins pour 2015 puisque la situation financière était fragile.

Mme Whissell indique que les élus traiteront du sujet au cours des prochaines réunions de travail prévues en début de semaine. Considérant la conjoncture économique, elle ne voit toutefois pas comment Saint-André-Avellin pourrait contribuer davantage.

Situation «dramatique»
La préfète de la MRC de Papineau, Paulette Lalande, qualifie quant à elle de «dramatique» la situation et assure que les élus de la Municipalité régionale de comté se pencheront sur le dossier.

«Je souhaite profondément qu'on trouve ensemble une solution pour le garder. C'est essentiel pour chez nous, autant pour le culturel que pour le rassemblement de nos gens», a-t-elle indiqué.

Le prochain appel de projets pour le Pacte rural aura lieu en janvier et la question de la survie de ce dernier «bastion culturel» du territoire de Papineau sera abordée, même s'il pourrait être à ce moment trop tard pour sauver les meubles, a laissé entendre Mme Lalande. La fermeture coup sur coup du Théâtre des Quatre Soeurs et de Diffusion Petite-Nation est un signe que l'Outaouais requiert un «statut particulier» dans tous les domaines, soutient la préfète.

«L'Outaouais n'a jamais eu notre dû. On doit décréter un statut particulier.» PLUS >>>


****************
Le Coco Bongo risque de fermer ses portes
12 avril 2007

Le député de Papineau, Norman MacMillan, ne croit pas que la politique pourra renverser la décision de la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ) de ne pas renouveler le bail du bar Coco Bongo qui se trouve sur la plage à Duhamel depuis près de neuf ans.

Ce choix a été effectué en raison d’un changement d’orientation. En effet, les efforts de mise en marché du Centre touristique du Lac-Simon seront dorénavant orientés vers une clientèle beaucoup plus familiale.

Le gestionnaire du bar aux allures exotiques, Patrick Esmond, soutient que le Coco Bongo est familial. «Nous servons la boisson dans des verres de plastique et nous n’avons que deux haut-parleurs pour diffuser la musique. De plus, nous fermons chaque soir à 20h. Finalement, la plage est assez grande pour que les gens s’installent plus loin si mon établissement les dérange», souligne-t-il.

Celui-ci a fait circuler une pétition dans les bars, salons de bronzage et dépanneurs de l’Outaouais. En deux semaines, 12 800 signatures ont été amassées. De plus, l’avocat de M. Esmond a envoyé une mise en demeure à la SÉPAQ pour éviter la fermeture. Cependant, malgré ces tentatives, la SÉPAQ maintient sa décision. PLUS >>>


*****************
VOIR  / LIRE
21 mai 2009