La rivière Petite-Nation est sortie de son lit dans le village de
Saint-André-Avellin et a forcé une fermeture partielle de la rue
Principale, qu'emprunte la route 321
Photos - Antoine Trépanier, Journaliste à Radio-Canada
La rivière Petite-Nation est sortie de son lit dans le village de
Saint-André-Avellin et a forcé une fermeture partielle de la rue
Principale, qu'emprunte la route 321
Photos: Laurie Trudel, Journaliste à Radio-Canada
Bonjour,
je vien de passé a Ripon et il a fermé le chemin apres j'ai passé
.L'eau pass de bord a bord de chemin ou il est le petit parc. Merci de
partagé
April 24 at 2:11 PM
Suzanne Dube Dubois
April 20 at 6:45 AM
Emery Micheline is in Saint-Sixte
Route 317 à St Sixte fermé
April 20 at 6:10 AM
Rodrigue Boivin
Voici quelques photos prise au camping hier et aujourd’hui
April 26
Camping Saint-André-Avellin
******************
April 20 at 6:45 AM
Emery Micheline is in Saint-Sixte
Route 317 à St Sixte fermé
April 20 at 6:10 AM
Rodrigue Boivin
Voici quelques photos prise au camping hier et aujourd’hui
April 26
Camping Saint-André-Avellin
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Alerte nationale émise quant à une possible rupture de barrage à Grenville-sur-la-Rouge
25 avril 2019
Une alerte a été émise quant à une potentielle rupture de barrage à Grenville-sur-la-Rouge dans les Laurentides, à 15 km de l'autoroute 50 et à 25 km de Fassett, la municipalité en Petite-Nation la plus proche de l'incident.
Le barrage se trouve sur la chute Bell, sur la rivière Rouge, qui elle se jette dans la rivière des Outaouais, au-dessus du barrage Carillon.
Les policiers sont actuellement en train d'évacuer environ 250 résidents du secteur de Grenville-Sur-La-Rouge.
Alerte de risque de rupture de barrage sur la rivière Rouge
25 avril 2019
La Sûreté du Québec procède à l’évacuation d’urgence de quelque 250 citoyens menacés par la rupture d’un barrage dans les Basses-Laurentides.
Les autorités de sécurité publique ont lancé en milieu d’après-midi, jeudi, une alerte avisant tous les citoyens en aval du barrage de la Chute-Bell, sur la rivière Rouge, d’évacuer immédiatement.
Le barrage se trouve à une quinzaine de kilomètres au nord de la
rivière des Outaouais et la rivière Rouge se jette elle-même dans la
rivière des Outaouais, en amont du barrage Carillon.
L’alerte
lancée par la sécurité publique presse les citoyens d’éviter de demeurer
près de la rivière, dans la vallée ou les terres basses.
Elle vise les deux rives de la rivière Rouge jusqu’à la rivière des Outaouais.
Selon
l’agent Daniel Thibaudeau de la Sûreté du Québec, 40 personnes avaient
été évacuées à 19 h 30, jeudi. Les autres devront l’être au cours de la
soirée.
Plusieurs dizaines de policiers ont été mobilisés pour
mener ces opérations. Ils peuvent compter sur des véhicules tout terrain
et des hélicoptères pour les aider. Une douzaine de personnes demeurant
dans des endroits qui sont trop difficiles d’accès par la voie
terrestre ont été transportées par la voie des airs.
Les citoyens
évacués sont amenés dans un premier temps à la mairie de
Grenville-sur-la Rouge. De là, ceux qui ne peuvent pas compter sur un
hébergement sont acheminés vers l’aréna de Lachute, à une quarantaine de
kilomètres.
La ministre de la Sécurité publique et vice-première
ministre du Québec, Geneviève Guilbault, a tenu un point de presse en
début de soirée, à Montréal, pour rassurer la population sur le fait
qu’il s’agit d’une mesure préventive.
Les policiers de la Sûreté
du Québec effectuent du porte-à-porte dans la zone considérée à risque
afin d’évacuer les gens qui se trouveraient dans les 23 résidences et 38
chalets du secteur.
Selon le directeur principal de la production et maintenance à
Hydro-Québec, Simon Racicot, le barrage devrait être en mesure de
contenir l’eau, mais le protocole exige que la société d’État avise la
sécurité civile que le débit a dépassé le seuil millénial. Il s’agit du
niveau considéré comme un maximum atteint une fois tous les 1000 ans.
Les
autorités ont donc rapidement diffusé une alerte et enclenché le
processus d’évacuation. «C’était la chose à faire parce que, comme je le
dis depuis plusieurs jours, il n’y a aucun compromis à faire sur la
sécurité de nos citoyens et aucun risque inutile», a commenté Mme
Guilbault.
Quatre millions de mètres cubes
Une rupture de
cette infrastructure créerait un apport d’eau massif dans la rivière des
Outaouais et, par la suite, vers le Saint-Laurent, là où des
inondations ont déjà frappé des milliers de citoyens.
Le barrage de la Chute-Bell est une infrastructure appartenant à Hydro-Québec.
Selon
le site de la société d’État, il s’agit d’un ouvrage de béton de 19
mètres de haut et de près de 60 mètres de longueur dont la capacité de
retenue est de 4 millions de mètres cubes d’eau.
Le réservoir créé
derrière le barrage a une superficie de 70 hectares avec un bassin
versant d’une superficie de 5440 kilomètres carrés.
L’infrastructure a été construite en 1942. La dernière évaluation de sécurité de l’ouvrage a été réalisée en 2011.
Le barrage sur la rivière Rouge tient bon, 75 citoyens évacués
26 avril 2019
Le Droit
La Sûreté du Québec (SQ) a annoncé vers 8h vendredi que 75 citoyens menacés par la rupture du barrage de la Chute-Bell sur la rivière Rouge, dans les Basses-Laurentides, avaient été évacués depuis la veille.
Soixante de ces personnes ont été emmenées en lieu sûr par voie terrestre; les autres ont été transportées par hélicoptère.
Des vérifications sont faites vendredi pour assurer que personne n'ait été oublié. Plusieurs dizaines de policiers ont été mobilisés pour mener ces opérations.
Les citoyens évacués ont été transportés à la mairie de Grenville-sur-la Rouge, tout près de Hawkesbury, en Ontario. De là, ceux qui ne peuvent trouver un hébergement sont acheminés vers l'aréna de Lachute, à une quarantaine de kilomètres.
Les autorités de sécurité publique ont lancé en milieu d'après-midi, jeudi, une alerte avisant tous les citoyens en aval du barrage de la Chute-Bell d'évacuer sans délai. Le barrage se trouve à une quinzaine de kilomètres au nord de la rivière des Outaouais, là où se jette la rivière Rouge qui prend sa source à quelque 160 kilomètres au nord.
En soirée, la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, a rassuré la population, indiquant que l'évacuation était une mesure préventive.
Vendredi matin, des porte-paroles d'Hydro-Québec ont déclaré que la société d'État avait confiance que le barrage construit en 1915 tienne le coup.
Le directeur principal de la production et maintenance à Hydro-Québec, Simon Racicot, a précisé que le protocole exige que la société d'État avise la sécurité civile que le débit a dépassé le seuil millénal. Il s'agit du niveau considéré comme un maximum atteint une fois tous les 1000 ans.
Les autorités ont donc rapidement diffusé une alerte et enclenché le processus d'évacuation.
Une rupture de cette infrastructure créerait un apport d'eau important dans la rivière des Outaouais et, par la suite, vers le fleuve Saint-Laurent, là où des inondations ont déjà frappé des milliers de citoyens.
Les autorités confiantes que le barrage va tenir le coup à Grenville-sur-la-Rouge
26 avril 2019
Radio Canada
26 avril 2019
Le Droit
La Sûreté du Québec (SQ) a annoncé vers 8h vendredi que 75 citoyens menacés par la rupture du barrage de la Chute-Bell sur la rivière Rouge, dans les Basses-Laurentides, avaient été évacués depuis la veille.
Des vérifications sont faites vendredi pour assurer que personne n'ait été oublié. Plusieurs dizaines de policiers ont été mobilisés pour mener ces opérations.
Les citoyens évacués ont été transportés à la mairie de Grenville-sur-la Rouge, tout près de Hawkesbury, en Ontario. De là, ceux qui ne peuvent trouver un hébergement sont acheminés vers l'aréna de Lachute, à une quarantaine de kilomètres.
Les autorités de sécurité publique ont lancé en milieu d'après-midi, jeudi, une alerte avisant tous les citoyens en aval du barrage de la Chute-Bell d'évacuer sans délai. Le barrage se trouve à une quinzaine de kilomètres au nord de la rivière des Outaouais, là où se jette la rivière Rouge qui prend sa source à quelque 160 kilomètres au nord.
En soirée, la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, a rassuré la population, indiquant que l'évacuation était une mesure préventive.
Vendredi matin, des porte-paroles d'Hydro-Québec ont déclaré que la société d'État avait confiance que le barrage construit en 1915 tienne le coup.
Le directeur principal de la production et maintenance à Hydro-Québec, Simon Racicot, a précisé que le protocole exige que la société d'État avise la sécurité civile que le débit a dépassé le seuil millénal. Il s'agit du niveau considéré comme un maximum atteint une fois tous les 1000 ans.
Les autorités ont donc rapidement diffusé une alerte et enclenché le processus d'évacuation.
Une rupture de cette infrastructure créerait un apport d'eau important dans la rivière des Outaouais et, par la suite, vers le fleuve Saint-Laurent, là où des inondations ont déjà frappé des milliers de citoyens.
26 avril 2019
Radio Canada
Tant du côté Hydro-Québec
qu'à la Sûreté du Québec (SQ), les autorités croient que le barrage de
la Chute-Bell sera en mesure de résister à la pression de l'eau, et ce,
malgré les débits historiques auxquels il fait face.
D’ailleurs,
le nombre de personnes évacuées a été revu à la baisse, vendredi matin.
Les équipes de la SQ ont procédé à l’évacuation de 75 personnes au
total, une soixantaine par voie terrestre et le reste par voie aérienne,
a expliqué le porte-parole Daniel Thibodeau.
Monsieur Thibodeau explique la différence entre le nombre d’évacués initialement diffusé (250) et le chiffre réel (75), par une
confusion
dans les chiffres, notamment parce qu’il y a des chalets dans le
secteur et que certaines personnes avaient déjà quitté les lieux avant
l’intervention des autorités.
Selon le porte-parole,
l’état du barrage guide grandement ce qu’on fait sur le terrain et la rapidité avec laquelle on intervient
.
Tant
du côté Hydro-Québec qu'à la Sûreté du Québec (SQ), les autorités
croient que le barrage de la Chute-Bell sera en mesure de résister à la
pression de l'eau, et ce, malgré les débits historiques auxquels il fait
face.
D’ailleurs,
le nombre de personnes évacuées a été revu à la baisse, vendredi matin.
Les équipes de la SQ ont procédé à l’évacuation de 75 personnes au
total, une soixantaine par voie terrestre et le reste par voie aérienne,
a expliqué le porte-parole Daniel Thibodeau.
Monsieur Thibodeau explique la différence entre le nombre d’évacués initialement diffusé (250) et le chiffre réel (75), par une
confusion
dans les chiffres, notamment parce qu’il y a des chalets dans le
secteur et que certaines personnes avaient déjà quitté les lieux avant
l’intervention des autorités.
Selon le porte-parole,
l’état du barrage guide grandement ce qu’on fait sur le terrain et la rapidité avec laquelle on intervient
.Hydro-Québec se veut rassurante
Ce qui se passe présentement, c’est qu’on surveille
, a expliqué Francis Labbé, conseiller en affaires publiques et médias à Hydro-Québec. Il a indiqué que le barrage a connu une bonne nuit, dans la mesure du possible
.
M. Labbé a précisé qu’Hydro-Québec a installé de
l’équipement qui permet à la société d’État de mesurer le niveau et le
débit de l’eau dans le secteur du barrage.
Je vous confirme que rien ne s’est produit dans les dernières heures
, a-t-il mentionné en entrevue à l’émission Les matins d’ici.
D’ailleurs, Hydro-Québec serait en mesure de savoir
très rapidement
si le barrage devait céder ou si quelconque problème survenait, a-t-il soutenu.
Le porte-parole a précisé qu’Hydro-Québec a demandé aux autorités d’évacuer les résidents qui habitent en aval du barrage
parce que la capacité maximale de supporter la pression de l’eau est atteinte pour ce barrage-là
, et la pluie qui s’amène ne fera qu’aggraver la situation.
M. Labbé a toutefois tenu à rassurer la population et a mentionné que des ingénieurs à qui il a parlé se sont dits
convaincus que le barrage allait tenir bon
.
Le porte-parole de la SQ Daniel Thibodeau abonde dans le même sens que la société d’État.
Je
tiens à rassurer la population que tout le monde qui voulait être
évacué et tout le monde qui devait l’être l’a été. Ça s’est bien
déroulé.
Le travail est loin d’être terminé, selon M. Thibodeau.
On
est encore présents sur le terrain. On a une quarantaine de membres [de
la SQ] sur le terrain avec nos hélicos. On a notre poste de
commandement
, a-t-il dit.La pluie s’en vient, ce
n’est pas bon signe, mais visuellement et au niveau des appareils de
mesures mis en place par Hydro-Québec, il n’y a rien qui a changé
, a-t-il dit.
M. Thibodeau a ajouté que les autorités vont demeurer sur
place pour contrôler l’accès au secteur et prévenir des vols ou des
méfaits.
Le maire de Grenville-sur-la-Rouge sceptique
Le maire de Grenville-sur-la-Rouge, Tom Arnold, n’est toutefois
pas confiant
que le barrage tienne le coup, et ce, malgré l'optimisme d’Hydro-Québec.Ce n’est pas une situation facile, mais l’opération avance bien et de façon positive
, a-t-il affirmé.
Il tient à ce que ses résidents coopèrent avec les autorités.
Il faut que les gens comprennent que ce qu’on vit là, ce n’est pas comme toutes les années
, a conclu l'élu.
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