mardi 25 juin 2019

Salon de l’environnement 2019 @ Lac Simon

Salon de l’environnement (2e édition)
Chapiteau situé au coin du du chemin du Parc et du chemin du Tour-du-Lac

Organisé par le comité consultatif en environnement de la Municipalité de Lac-Simon

Salon de l’environnement (2e édition)AU PROGRAMME

CONFÉRENCES

10 h 30 : L’Organisme des bassins versant des rivières Saumon et Petite-Nation nous parlera de la protection des plans d’eau, le concept d’eutrophisation, les cyanobactéries et le projet des inondations dans la rivière Petite-Nation

13 h 30 : Chantal Dozois, herboriste autodidacte, présentera les plantes mal aimées qui sont en fait nos amies. Mme Dozois restera par la suite pour discuter avec vous

SUR PLACE

- Tricentris viendra nous parler de recyclage, du
fonctionnement du centre de tri et de nouveaux produits
- Pascal Samson, biologiste nous parlera des envahisseurs (terrestres et aquatiques) et des chauves-souris
- Vincent Bouheret, de Apicentris Gatineau nous parlera du monde des abeilles
- Gabrielle Lajoie, chimiste, nous fera découvrir ce qui se cache dans les feux d’artifice
- Association des mycologues amateurs de l'Outaouais, pour la découverte et l'amour des champignons
- Jacques Charbonneau de Joracan sera de retour avec son composteur thermophile
- La SOPFEU
- Les agents de la protection de la faune
- Enviro Éducation, nous parlera de compostage
- La caravane d’analyse d'eau (des bouteilles d’analyse sont
disponibles au bureau municipal ou sur place, la journée même)
- Comité consultatif en environnement de la Municipalité de Lac-Simon
- Information sur les subventions de Transition énergétique du Québec, pour les rénovations et les constructions domiciliaires.
- Campagne pour l’arrachage de l’herbe à poux

et plus ...

vendredi 14 juin 2019

Révision du Plan & Règlements d'urbanisme @ Lac-Simon

 Révision du plan d'urbanisme et des règlements d'urbanisme de la municipalité de Lac-Simon
3 Assemblées publiques de consultation (6 juillet / 3 août / 24 août)

6 juillet: Plan d'urbanisme, énoncé de vision stratégique 2035 et grandes orientations pour la municipalité

3 août: Hébergement touristique et location a court terme, AirBnB et autres types d'hébergement

24 août: Règlements d'urbanisme (zonage, lotissement, construction et autres)

mercredi 5 juin 2019

Le règlement québécois pour encadrer Airbnb prend forme

Le règlement québécois pour encadrer Airbnb prend forme
5 juin 2019
Radio Canada

Tel que l'a récemment révélé Radio-Canada, le gouvernement du Québec a décidé de revoir la Loi sur les établissements d'hébergement touristique, jugée « désuète » par la ministre du Tourisme, Caroline Proulx. En vertu de la nouvelle réglementation, qui devrait entrer en vigueur à l'automne, tout propriétaire pourra louer sa résidence principale à condition d'obtenir un numéro d'enregistrement.

Comme l’avait déjà laissé entendre le gouvernement, il n’y aura aucune limitation de durée. Dès l’obtention de ce numéro d’enregistrement, un propriétaire pourra louer (pour une durée de moins de 31 jours consécutifs) en partie ou entièrement sa résidence principale autant de fois qu’il le souhaite.

Obtenir ce numéro prendra « une dizaine de minutes » en remplissant en ligne un formulaire « simple et rapide » sur le site de la Corporation de l’industrie touristique du Québec (CITQ), a expliqué mercredi Caroline Proulx, en présentant ce projet de règlement, tout en évoquant une « urgence d'agir » face à l'« explosion de l'hébergement collaboratif » au cours des dernières années.

Ce numéro devra ensuite être affiché « impérativement et obligatoirement » sur les plateformes numériques comme Airbnb ou Kijiji, mais aussi sur les babillards, dans les annonces affichées dans les pharmacies, ou encore sur les fils Facebook.
On veut que ce soit clair, simple, applicable et équitable pour tous, tout en protégeant le parc immobilier résidentiel. On devient la toute première province au Canada qui décide d’encadrer ce type d’hébergement sur tout le territoire. - Caroline Proulx, ministre du Tourisme
Pour mettre un terme au « flou » entourant la notion de résidence principale, Caroline Proulx a apporté des détails sur cette définition. Il s’agit, a-t-elle indiqué, de l’adresse utilisée pour les correspondances avec Revenu Québec et la Régie de l’assurance maladie.

Les locataires pourront eux aussi louer leur logement, à condition d’obtenir ce numéro après avoir reçu l’autorisation de leur propriétaire. Dans le cadre d’immeubles de plusieurs appartements, les propriétaires devront avoir l’accord du syndicat de copropriété.

Par ailleurs, pour une « équité fiscale », chaque personne louant sa résidence principale devra prélever la taxe sur l’hébergement de 3,5 % par nuitée, a détaillé la ministre Proulx.

Des plateformes comme Airbnb perçoivent déjà automatiquement cette taxe, versée au gouvernement du Québec. Dans le cadre d’un autre moyen de location, les locateurs devront prélever par eux-mêmes cette somme.

Un panonceau pour les résidences secondaires

Dans le cadre d’une résidence secondaire (un chalet ou un autre appartement), il faudra impérativement obtenir ce numéro d’enregistrement, mais aussi une attestation de classification, qui correspond au panonceau étoilé à accrocher devant l’entrée. Cette activité de location deviendra ainsi commerciale.

Les agents de Revenu Québec pourront sévir

La ministre Proulx l’assure : désormais, les 25 agents de Revenu Québec chargés d’enquêter sur l'hébergement touristique illégal pourront sévir.

À ce jour, malgré des milliers d’inspections, aucune amende n’a été donnée, car « le règlement était tellement flou », a souligné Caroline Proulx, qui a également dévoilé le barème des sanctions.

Après un premier avertissement de non-conformité, des amendes « assez salées » seront directement appliquées. Celles-ci iront de 1000 $ à 10 000 $ pour une personne physique et de 2500 $ à 25 000 $ pour une personne morale.

Au troisième avertissement, « ce sera le retrait complet de la possibilité de faire de l’hébergement touristique collaboratif », a ajouté la ministre du Tourisme.

Ce projet de règlement, qui a déjà été présenté au Conseil des ministres, connaîtra une période de consultations de 45 jours. Des ajustements pourraient être apportés.

Il devrait entrer en vigueur « dès l’automne », selon Caroline Proulx.

Une « victoire » pour les hôteliers

Ce texte a été perçu comme une « importante victoire » par l'Association des hôtels du Grand Montréal (AHGM). « Cette modification permet notamment d’établir une distinction claire entre ce qui constitue de l’hébergement collaboratif et des activités de nature commerciale », souligne, par voie de communiqué, Eve Paré, présidente de l'AHGM.

Tout en évoquant un « pas dans la bonne direction », ce projet de règlement ne va cependant « pas assez loin pour contrer les problèmes engendrés par les plateformes d’hébergement touristique », déplore de son côté le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). « Des milliers de logements se retrouvent en location sur Airbnb une bonne partie de l’année alors qu’une pénurie de logements sévit dans plusieurs régions du Québec », assure Maxime Roy-Allard, porte-parole du RCLALQ.

Les villes libres d’ajouter d’autres règlements

Libre aux villes d’ajouter d’autres règlements, ont également signifié Caroline Proulx et sa collègue Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales.

Montréal a par exemple décidé de revoir son règlement de zonage, afin de limiter la délivrance d’attestation de classification dans son centre-ville ou encore sur Le Plateau-Mont-Royal. La Ville de Québec, de son côté, souhaite limiter à 90 le nombre de nuitées en hébergement touristique.

Il appartiendra cependant à ces villes de veiller au respect de leur réglementation. « Si les municipalités décident d’avoir une réglementation supplémentaire, elles auront la responsabilité de faire appliquer les règlements additionnels », a prévenu Caroline Proulx.

Des règles plus strictes sur l’hébergement collaboratif
5 juin 2019
Le Soleil

Des règles plus strictes seront imposées à ceux qui pratiquent l’hébergement collaboratif de type AirBnB. À partir de l’automne, il faudra absolument s’enregistrer auprès du gouvernement du Québec pour avoir le droit de louer son appartement à un touriste.

La ministre du Tourisme Caroline Proulx et la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation Andrée Laforest ont dévoilé mercredi les détails du nouveau règlement encadrant les établissements d’hébergement touristique.

Selon elles, l’ancien règlement du gouvernement libéral était trop flou et difficilement applicable. «On s'est mises au travail parce qu'il était vraiment important de clarifier la situation qui traînait depuis trop longtemps», indique Mme Proulx.

«Établissement de résidence principale»

Un nouveau type d’hébergement est créé au Québec, soit «l’établissement de résidence principale». Il sera dorénavant tout à fait légal de louer en partie ou au complet la maison ou l’appartement dans lequel on vit, si on en est propriétaire.

Les locataires devront toutefois obtenir la permission de leur propriétaire avant de le faire, alors que ceux qui possèdent un condo devront obtenir la permission de leur syndicat de copropriétaires.

Il ne sera pas possible de louer pour quelques semaines une résidence secondaire (chalet ou autre), à moins de le transformer officiellement en résidence de tourisme.

La personne qui fait la promotion de sa résidence à louer, que ce soit sur les sites web comme AirBnB, Homeaway, Kijiji ou sa propre page Facebook, devra s’assurer que son numéro d’établissement soit bien visible sur l’annonce. Même une petite annonce papier épinglée sur un babillard au dépanneur ou à la pharmacie du coin devra être accompagnée de ce numéro.

La ministre Proulx indique que l’obtention de ce numéro ne prendra environ que 10 minutes, sur le site web de la Corporation de l’industrie touristique du Québec. «C’est un formulaire qui est simple, qui est rapide, qui est à faible coût», assure-t-elle.

Question d’être équitables avec les hôteliers, ceux qui louent leur résidence devront percevoir la taxe sur l’hébergement (TSH) et la remettre au gouvernement.

Amendes entre 1000 $ et 25 000 $

Ce sont les 25 inspecteurs qui sont déjà affectés à ce dossier chez Revenu Québec qui devront surveiller l’application de ce règlement. En cas de non respect, des amendes variant entre 1000 $ et 25 000 $ pourront être distribuées.

La ministre Proulx assure que son gouvernement est ouvert à l’économie collaborative, qui «est là pour rester» et qui est devenue un complément, dans le monde du tourisme, aux hôtels et aux auberges. Elle croit toutefois que la compétition pour attirer des touristes doit être équitable.
Le gouvernement a décidé de ne pas imposer de nombre de jours maximal pour louer sa résidence principale, parce que les études faites «à travers le monde» démontrent que c’est très difficile à appliquer, explique Mme Proulx.

La ministre Laforest précise qu’il s’agit d’un règlement de base, mais que les différentes villes du Québec auront la liberté d’aller plus loin, en interdisant par exemple l’hébergement collaboratif dans certains secteurs, si elles le désirent.

Plus de détails à venir…

+
«DÉCEVANTE» POUR AIRBNB, «ESSENTIELLE», POUR LES AUTRES

Pour Airbnb, le nouveau règlement tout québécois encadrant les établissements d’hébergement touristique ne pointe pas dans la bonne direction. La plateforme déplore l’interdiction de location d’une résidence secondaire, à moins de la transformer formellement en établissement de tourisme.

Si un simple enregistrement «en 10 minutes à peine» sur le site web de la Corporation de l’industrie touristique du Québec est nécessaire pour louer sa résidence principale dans les règles de l’art, une résidence secondaire annoncée, toutes plateformes confondues, «tombe dans la catégorie commerciale dès le premier jour», a précisé la ministre Caroline Proulx en point de presse. Elle devra être accompagnée d’un panonceau étoilé au même titre qu’un hébergement touristique dit traditionnel.

«Une personne qui loue sa résidence secondaire de temps à autre ne devrait pas être traitée comme un professionnel, laisse tomber Alexandra Dagg, directrice des politiques publiques d’AirBnB Canada. Les règles devraient être les mêmes que pour les résidences principales.» Elle considère cette réglementation «décevante et dépassée».

Alexandra Dagg estime que ce «niveau de règlement» sera difficile à faire respecter pour le gouvernement.

Un pas dans la bonne direction, mais…

Sans être une fin, prévient Xavier Gret, président-directeur général de l’Association hôtellerie Québec, qui a travaillé conjointement avec le gouvernement pour la modernisation du Règlement sur les établissements d'hébergement touristique, ce nouveau statut est un pas de géant dans la bonne direction, surtout en matière d’équité fiscale. «On travaille sur le dossier depuis 2011. On retrouve la quasi-totalité de nos recommandations dans la nouvelle réglementation. La rapidité avec laquelle le gouvernement s’est mis au pas est étonnante.»

«La case manquante» dans cette nouvelle réglementation, selon Xavier Gret? Des taxes de vente devraient être perçues dès le premier dollar récolté, que la résidence soit principale ou secondaire. Seulement pour la plateforme AirBnB en 2018, il note un trou de quelque 30 millions de dollars en taxes fédérales et provinciales. «On interpelle le gouvernement fédéral», dit-il.

Maxime Roy-Allard, porte-parole du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ), partage cet avis du «pas dans la bonne direction». Il croit toutefois que la nouvelle réglementation demeure «clairement insuffisante». «Le gouvernent a omis de limiter le nombre de jours permis de location par année», fait-il valoir.

Alors que des milliers de logements sont actuellement retirés du marché locatif traditionnel pour être loués à des touristes à des fins commerciales, il estime qu’il sera toujours possible d’en faire une business en se pliant aux nouveaux règlements. «La ministre Caroline Proulx diminue le contexte de pénurie de logements qui sévit dans plusieurs villes ou quartiers, comme à Montréal ou Gatineau», dit-il.

Il cite l’étude menée par le professeur d’urbanisme à l’Université McGill David Wachsmuth, attestant que 69 % de l’offre AirBnB à Montréal est composée de logements entiers loués une grande partie de l’année. Et la proportion de superlocateurs, ces hôtes qui gèrent plusieurs offres à la fois, augmente invariablement. «L’étude démontre clairement que la location de logements à des fins d’hébergement touristique augmente le prix des loyers, avec la spéculation immobilière notamment. Il y a une valeur ajoutée à ces immeubles.»

AirBnB se montre «emphatique» envers les villes qui vivent une pénurie de logements, selon Alexandra Dagg. «Mais une personne qui vit quelques mois par année en Floride et qui décide de louer cette résidence les autres mois de l’année, ne devrait pas être considérée comme un professionnel de la location», réitère la directrice des politiques publiques d’AirBnB Canada.

«Un outil supplémentaire» pour la Ville de Québec

Rappelons que la réglementation de la Ville de Québec sur l’hébergement collaboratif, qui devait entrer en vigueur le 1er juin, avait été reportée au 30 septembre afin de s’arrimer à celle annoncée par le ministère du Tourisme. Dès l’automne 2019 toutefois, le cadre réglementaire sera effectif.
«L’idée n'est pas de surveiller tout le monde, précise Marie-Josée Savard, conseillère à la Ville de Québec. Il s’agit plutôt d’un outil supplémentaire dans les cas d’abus.» Les citoyens pourront ainsi offrir de l’hébergement à des touristes à court terme (31 jours consécutifs ou moins), dans leur résidence principale, pour un maximum de 90 nuitées par année.

«L’hébergement collaboratif est une nouvelle réalité incontournable. L’encadrement gouvernemental est loin d’être négatif», ajoute la conseillère.


Québec serre la vis aux propriétaires utilisateurs de Airbnb
Martin Croteau
6 juin 2019
La Presse

Le gouvernement Legault imposera bientôt de nouvelles exigences aux propriétaires qui louent leur résidence sur des sites comme Airbnb ou HomeAway. Dès cet automne, ils devront déclarer leurs activités et, dans certains cas, collecter des taxes.

La ministre du Tourisme, Caroline Proulx, a présenté hier un projet de règlement qui créé une
nouvelle catégorie d'hébergement touristique, l'établissement de « résidence principale ». En vertu de ce nouveau statut, le propriétaire d'une maison ou d'un condo pourra le louer en toute légalité sur des plateformes en ligne.

En revanche, il devra obtenir un numéro d'enregistrement auprès de la Corporation de l'industrie touristique du Québec (CITQ). Ce faisant, il devra prouver qu'il s'agit bien de sa résidence principale. Le numéro devra obligatoirement être affiché sur ses annonces, que ce soit sur Airbnb, Facebook, HomeAway, Kijiji ou même sur un papier imprimé.

Le processus sera « simple », « rapide » et « à faible coût », a assuré Mme Proulx. Son cabinet a précisé que l'enregistrement prendra une dizaine de minutes et coûtera environ 50 $.

« Si vous décidez d'aller sur Kijiji et il n'y a pas de numéro d'enregistrement, c'est illégal, a illustré Mme Proulx. Si vous décidez d'avoir une publicité sur votre propre fil Facebook pour annoncer votre résidence principale et qu'il n'y a pas de numéro d'enregistrement, vous êtes dans l'illégalité. »
Les contrevenants seront passibles d'amendes allant jusqu'à 10 000 $ pour les particuliers et jusqu'à 25 000 $ pour les sociétés.

Une équipe de 25 enquêteurs de Revenu Québec sera affectée à surveiller les annonces en ligne pour vérifier que les propriétaires se conforment aux règles.

Il sera interdit de louer une résidence secondaire comme un chalet, à moins de le transformer officiellement en résidence de tourisme.  Ce processus est plus long et plus coûteux celui prévu pour les établissements de résidence principale.

Le nouveau règlement devrait entrer en vigueur à l'automne, après une période de consultations de 45 jours.

Phénomène inattendu

L'essor des plateformes comme Airbnb a causé des phénomènes inattendus au cours des dernières années. Les hôteliers ont dû subir une rude concurrence. Et plusieurs propriétaires jugent plus lucratif de louer des logements à des touristes plutôt qu'à locataires à long terme. Cela a exercé une pression à la hausse sur les loyers car les appartements se font plus rares.

À cela s'ajoute un problème d'équité, a fait valoir la ministre Proulx. Les hôtels prélèvent une taxe d'hébergement de 3,5 % alors que les propriétaires qui font des locations à court terme ne le font pas.
Le projet de règlement corrige la situation. Dorénavant, les sites spécialisés vont automatiquement prélever la taxe. Ceux qui s'affichent sur des sites d'annonces classées devront la collecter eux-mêmes.

Si le gouvernement québécois convient que l'économie du partage « est là pour rester », les municipalités pourront néanmoins serrer la vis à leur tour aux plateformes de location en ligne. Québec leur permettra de modifier leurs règlements de zonage pour limiter ou interdire ce type d'hébergement touristique.


Quebec tightens the rules for Airbnbs
'This regulatory modernization was long overdue in Quebec,' says Tourism Minister Caroline Proulx
June 5 2019
CBC

The Quebec government has introduced stricter rules for online short-term housing rentals, including Airbnb.

Tourism Minister Caroline Proulx has in the past acknowledged the rules lacked clarity. The regulations announced Wednesday are an attempt to rectify that, she said.

"This regulatory modernization was long overdue in Quebec. Collaborative hosting being a phenomenon that is here to stay, it was imperative for us to adapt the regulations quickly and effectively to this new reality," she said.

The changes are expected to go into effect this fall.

Here's a look at the key points.

New registration process

Quebecers who rent out their homes on a short-term basis (less than 31 days) will be required to obtain a registration number through the province. The registration number will be available "easily and at a reasonable cost," according to the province. That number will need to be included on any advertising, contract or website connected to the rental unit.

Condo owners require approval

Condo owners would require the approval of their syndicate or condo association before renting out their home on a short-term basis. Likewise, those who are renters themselves would require the approval of their landlord.

Applies to 'primary residences'

The rules would apply to what's defined as a "primary residence," where the host normally lives. There is a different set of rules for "secondary residences," including cottages and furnished apartments. In those cases, the renter must register a more detailed form with the Corporation de l'industrie touristique du Québec, which oversees the province's tourism industry.



Quebec announces new regulations for Airbnb rentals
June 5 2019
Global

The Quebec government has announced new rules that it says will level the playing field around renting property on Airbnb and other similar platforms.

The new regulations come into effect in the fall. Once in place, they will forbid people from renting a property in Quebec without a registration number. Even if the rental is only a room in a house or a short-term rental, all owners and subletters will need to register with Revenu Quebec under the new regulations.

“There’s going to be just one application form — easy, simple, accessible and fair for everyone,” said Tourism Minister Caroline Proulx.

Proulx added that the administration fee will be somewhere between $50 and $75.

There are specific rules for two rental categories: accommodation in a principal residence and accommodation in all other types of establishments. Proulx had a stern message for those who do not play by the new rules.
“We’ll find them and we’ll fine them,” she said.

Fines for violating the new regulations can reach up to $10,000 for an individual and $25,000 for a corporation. The minister said municipalities can also create stricter bylaws over and above the provincial regulations.

The Quebec Hotel Association applauded the news. Board president Dany Thibault said the current industry is a “bit of a free-for-all,” which affects the bottom line of the association’s members.
“It’s not being taxed the same way,” Thibault said.

“The safety, security standards are not the same so the costs of operation are not the same…but I guess, above and beyond that, everywhere you go in the world, if there’s a business being run, tax should be collected.”

Those who rent their properties will now have to collect provincial and fed


dimanche 2 juin 2019

MétéoMédia: Alerte Tornade - 02 juin 2019 18:01 Papineauville & Chénéville

Alerte de tornade en vigueur pour secteur de Papineauville - Chénéville 
18h01 HAE dimanche le 2 juin 2019

Alerte de tornade est terminée pour secteur de Papineauville - Chénéville
20h37 HAE le dimanche 02 juin 2019

Alertes pour : Haute-Gatineau - Lièvre - Papineau 

18h50 HAE le dimanche 02 juin 2019 

Alerte de tornade en vigueur pour :

  • secteur de la rivière du Lièvre
  • secteur de Papineauville - Chénéville
À 18h50 HAE, les météorologues d'Environnement Canada surveillent un orage produisant possiblement une tornade. Des vents destructeurs, de la grosse grêle et de la pluie intense par endroits sont aussi possibles.

Une tornade a été observée près de l'aéroport de Gatineau à 17h55. La cellule tornadique longe présentement l'Outaouais.
 dimanche, 2 juin 2019 à 18:31 - Une tornade a été observée près de l'aéroport de Gatineau à 17h55. Environnement Canada place la région en alerte.

Une tornade observée dans la région d'Ottawa et de Gatineau

Environnement Canada confirme avoir observé une tornade qui touchait terre à 17 h 55 à l'aéroport de Gatineau. 

De plus, bon nombre de témoins oculaires ont confirmé le phénomène météorologique, des vidéos et des photos publiés sur les réseaux sociaux montrent qu'au moins une tornade a touché terre dans l'est de Gatineau et d'Ottawa, plus précisément dans le secteur Masson-Angers, à Gatineau, et dans le secteur d'Orléans, à Ottawa.

Aucune information pour l'instant n'indique qu'il y a de blessé.

Des dégâts, notamment des arbres déracinés, des toits endommagés, des véhicules endommagés ont été observés promenade Borland, rue Champlain et boulevard Jeanne d'Arc nord et croissant Lawler notamment, dans le secteur d'Orléans à Ottawa.

En cas de tornade, l'agence fédérale recommande de prendre les mesures suivantes : rentrez à l'intérieur, dans la pièce au niveau le plus bas, loin des fenêtres et des murs extérieurs, comme dans un sous-sol, une salle de bain, une cage d'escalier ou un garde-robe intérieur. Si vous vous trouvez dans un véhicule, une maison mobile, une tente, une remorque ou tout autre abri temporaire, réfugiez-vous dans un bâtiment solide si vous le pouvez. En dernier ressort, couchez-vous sur le sol dans un endroit bas et protégez votre tête des objets projetés.


Une tornade observée à Gatineau

Au moins une tornade a été observée dans la région la région de Gatineau-Ottawa, dimanche en début de soirée.

Environnement Canada rapporte qu’une tornade a été observée «près de l’aéroport de Gatineau à 17h55».

Au cabinet du maire Maxime Pedneaud-Jobin, on indique que «les équipes de la ville étaient prêtes à intervenir au besoin dès l’émission de l’alerte», mais qu’aucun appel n’a été reçu au 911 en lien avec cette tornade. Aucun signalement de dommage ou de blessé n’a été rapporté à la Sûreté du Québec et au Service de police de la Ville de Gatineau.

Sur les réseaux sociaux, plusieurs internautes ont aussi publié des images de tornade à partir des secteurs Orléans et Cumberland de la ville d’Ottawa.

La Police d'Ottawa a indiqué vers 19h15 que plusieurs arbres sont tombés et que certaines résidences ont subi des dommages, mais qu'elle n'avait été avisée d'aucune blessure.

Des témoins auraient vu la tornade toucher terre dans le secteur de l’île Petrie, sur la rivière des Outaouais, pour se diriger ensuite vers le secteur Masson-Angers.

«Certains voisinages à l’Est ont eu de la météo extrême dans leur région, a publié sur Twitter le Service des incendies d’Ottawa. Nous demandons que vous évitez débris et fils électriques tombés.»
L’autoroute 174 est fermée pour une durée indéterminée entre le chemin Trim et la rue Cameron. Le boulevard Jeanne d'Arc est pour sa part fermé entre les chemins Trim et Tenth Line.

À 18h50, la «cellule tornadique» longeait cependant toujours la rivière des Outaouais. «Des vents destructeurs, de la grosse grêle et de la pluie intense par endroits sont aussi possibles», soulignait Environnement Canada. À 19h17, les météorologues d'Environnement Canada surveillaient «un orage produisant possiblement une tornade» dans le secteur de Papineauville et Chénéville.

L’alerte de tornade avait été lancée peu après 18h pour divers territoires, soit Gatineau, et la Petite-Nation sur la rive québécoise et le secteur de Prescott et Russell du côté ontarien.

Le 21 septembre dernier, la région a été durement touchée par le passage de tornades destructrices. Les quartiers Mont-Bleu, à Gatineau, et Dunrobin, à Ottawa, avaient subi de lourds dommages. Outre les nombreuses résidences ayant été endommagées par la force des vents, un incendie s’était déclenché à l’école secondaire Mont-Bleu de Gatineau.

Tornado warning issued for Gatineau area, Prescott-Russell
Reports of damaged roofs, uprooted trees in east Ottawa
CBC Ottawa


Environment Canada has lifted its tornado warning for Gatineau, Que., but it remains in effect for parts of both western Quebec and eastern Ontario.

A tornado was spotted near the Gatineau airport at 5:55 p.m., the weather agency said.

As of 6:50 p.m., the warning was still in place in the Papineau, Que., area, and in Prescott-Russell, Ont., as the tornado was moving along the Ottawa River.

People should take cover immediately if threatening weather approaches, Environment Canada said.