mercredi 27 avril 2016

La Nouvelle Politique de Communication de Lac-Simon Crée des Remous

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Émission Solide comme le Roch104,7 Outaouais
mercredi 27 avril 2016 | Durée : 11:18

Écouter l'extrait audio "Les élus de Lac-Simon doivent-ils demander la permission au maire avant de parler aux médias?" Le conseiller municipal Michel Lavigne est responsable des communications de la municipalité de Lac-Simon

Voici le verbatim de l’entrevue réalisée par Roch Cholette auprès du Conseiller Michel Lavigne :

Roch Cholette : Il est 11h49 et je vais me rendre au Lac-Simon.  On connait cela dans notre région. Bientôt, bien du monde vont aller se baigner là-bas, vont aller en villégiature. Je vais aller rejoindre le conseiller municipal et responsable des communications au Lac-Simon, Michel Lavigne.  Bonjour M. Lavigne.

Conseiller Michel Lavigne : Cholette, vous allez bien?

Roch Cholette :  Ben oui, merci d’être là! Vous êtes gentil!

Conseiller Michel Lavigne :  Ça me fait plaisir!  En passant, là, pour les gens, le lac a calé en fin de semaine.  C’est parti pour la belle saison!

Roch Cholette : M. Lavigne, avez-vous demandé au maire si vous pouviez me parler?

Conseiller Michel Lavigne :  Eh bien oui, j’ai demandé au maire si je pouvais vous parler! Parce que là, je parle d’un dossier qui concerne les affaires municipales, alors, dans ce contexte-là, on informe le maire pour qu’il soit au courant qu’on va parler sur un dossier au nom de la municipalité dans son ensemble et non au nom personnel.  Et donc, oui, c’est fait, j’ai avisé le maire et on en a discuté, Oui!

Roch Cholette : Méchante dictature!!!

Conseiller Michel Lavigne : Ben non, faut pas appeler cela une dictature. En fait, c’est la politique et puis cette politique-là est dans le cadre d’un gros travail qu’on a fait pour améliorer nos communications qui d’ailleurs, faisait l’unanimité de la table de tous des conseillers.  D’ailleurs, il y a eu beaucoup d’efforts  pour….  … (..)  On a un nouveau site web qu’on a développé…  On publie un infolettre 3 à 4 fois par année…. (…)

Roch Cholette : Ok ok.. ce n’est pas de cela que je veux parler…  M. Lavigne, votre politique c’est que si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit en aviser, avant la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.

Roch Cholette :  ÇA AUCUN BON SENS !!!

Conseiller Michel Lavigne :  Oui, Ben ça du bon sens, dans le sens que c’est pour informer le maire. On dit de l’aviser pour l’informer!  On ne demande pas la permission puis le maire ne dicte pas dans cette politique-là quoi dire.

Roch Cholette :  Ah ok.. le maire a pas un mot à dire dans le fond. On fait juste l’aviser!

Conseiller Michel Lavigne :  Oui oui, c’est pour l’aviser parce qu’il faut qu’il soit au courant des dossiers.  Pis encore là, c’est quand qu’on doit parler

Roch Cholette :  Ben voyons donc

Conseiller Michel Lavigne :   C’est quand qu’on doit parler à propos d’un dossier municipal au nom du Conseil municipal dans son ensemble.  Puis ça empêche pas les gens, d’allez…depuis ce matin, comme dans l’article du Droit de Monsieur Benoit Sabourin qu’il y a des conseillères qui se sont exprimées.  Ils l’ont faites puis ils s’expriment en leur nom personnel

Roch Cholette :  eh eh…arrêtez… attendez…

Conseiller Michel Lavigne :  Ça va continuer pis ça va se faire encore.

Roch Cholette :  Non, non…. Arrêtez… arrêtez…cela là…. en leur nom personnel

Roch Cholette :  Les deux conseillères qui sont citées, c’est parce que ce sont des conseillères municipales.  C’est pas en leur nom personnel… c’est au nom… c’est parce qu’elles sont des conseillères municipales.   En politique cela, ça existe pas cela en ‘au nom personnel’  Alors, ces deux conseillères-là ont parlé parce qu’elles sont en désaccord avec la politique.  Parce que là, vous, vous êtes en train de me dire que c’est la GESTAPO de l’information à Lac-Simon ou est-ce qu’un élu…

Conseiller Michel Lavigne :  Absolument pas… Absolument pas.. c’est pas ce que je vous dit

Roch Cholette :  ou est-ce qu’un élu…

Conseiller Michel Lavigne :  Ben voyons donc… mais pas du tout.. c’est pas ce que je vous dit.  Mais attendez là, vous me sortez  terme… là… la Gestapo! Ben voyons donc…  Écoutez, ces personnes-là qui ont parlé, ont leur a clairement expliqué lors du Conseil le but de la politique puis si vous regardez la politique dans son ensemble, il n’y a pas de dictature puis il n’y a pas de baîllon du tout d’aucune façon. C’est juste qu’on demande que le maire soit informé lorsqu’il y a une intervention au niveau des médias.  Et c’est normal!  Monsieur, on est dans une petite municipalité ici.   On a pas une organisation qui permet, on a pas une organisation qui nous permet d’avoir une grande, un paquet de monde qui s’occupe des communications et qui coordonne tout cela.  Alors c’est le maire qui doit voir à tout cela.  Monsieur, c’est tout petit ici!   Le maire est à la municipalité 8 heures par jour et plus …5 jours par semaine puis c’est lui qui voit à tous les dossiers alors je pense que c’est absolument normal dans ce contexte-là, qu’il sache ce qu’il se passe.   Il dicte rien à personne.  La politique ne dit pas qu’il dicte rien à personne. Il veut simplement être informé de cela.. c’est tout

Roch Cholette :  Ben.. qu’il sache ce qu’il passe.. il ne le sait pas?   Alors, pourquoi faut l’aviser AVANT de faire l’entrevue d’abord?

Conseiller Michel Lavigne :  Ben c’est parce que s’il y a des retours de cela, il faut qu’il le sache ce qu’il en est… de quoi on a parlé.  C’est lui qui va être contacté éventuellement…

Roch Cholette :  le maire?  Monsieur Lavigne.. Monsieur Lavigne…

Conseiller Michel Lavigne :  On lui demande pas… regardez la politique là…  C’est pas que le maire va dicter quoi dire!

Roch Cholette :  Le maire… Monsieur Lavigne, dites-moi... pour vous… vous êtes conseiller municipal. Dans votre tête à vous… le maire, c’est-tu votre boss?
 
Conseiller Michel Lavigne : 
Ben, le maire.. oui, c’est lui le maire, c’est lui qui gère…

Roch Cholette :  C’est votre boss!!! Ben.. ok…là on a un méchant problème vous et moi.  Si vous croyez que le maire c’est votre boss, vous ne comprenez pas votre rôle!

Conseiller Michel Lavigne :  Écoutez, c’est la façon de travailler!   Ça devient… On est élu, je suis d’accord que ce sont les citoyens qui sont nos patrons mais en même temps que quand on est là, il faut qu’il y ait quelqu’un qui dirige l’organisation et puis c’est le rôle du maire de diriger puis c’est le maire.. qui écoutez

Roch Cholette :  Ben non non non.. diriger l’organisation, ça c’est  l’administration.  Vous êtes un conseil élu. Le conseil est souverain là… pis chacun est indépendant pis chez vous en plus ya pas de parti politique.  Ya quelque chose que le maire a dit qui m’a scié les deux jambes. Puis une des raisons, y défend sa politique le maire qu’il a fait adopter là. Il se défend de vouloir  contrôler l’information.  Non non non, ce n’est pas cela.  Ya dit… là.. là écoutez… Ya des conseillers qui ne connaissent pas tous les dossiers.  Est-ce que c’est vrai cela?

Conseiller Michel Lavigne :  Ben oui, ça peut arriver parce qu’effectivement si vous appelez un autre des conseillers aujourd’hui que moi concernant la politique des communications, il n’a peut-être pas toutes les informations.

Roch Cholette :  Arrêtez tout de suite Monsieur Lavigne.  Une minute, Me dites-vous là, Monsieur Lavigne que la politique de communication a été adoptée au Conseil.  Bon

Conseiller Michel Lavigne : Oui!

Roch Cholette :  Vous êtes en train de me dire qu’il y a du monde qui ont voté là-dessus puis qu’ils ne la comprennent pas!

Conseiller Michel Lavigne : Ils la comprennent, Monsieur, c’est pas ce que j’ai dit.  J’ai dit qu’ils ne sont pas en mesure d’avoir tous les détails pour répondre à une entrevue comme celle que vous portez actuellement

Roch Cholette :  mais pourtant ont voté POUR?

Conseiller Michel Lavigne :  ben, ils ont voté POUR parce qu’ils la comprennent mais de là d’essayer de faire face aux détails que vous soulevez

Roch Cholette : Quels détails?

Conseiller Michel Lavigne :  Ya peut –être pas toutes les informations?

Roch Cholette : Quels détails? Quels détails que je vous pose!  Je vous ne pose pas de détails

Conseiller Michel Lavigne :  Ben parce que vous allez dire qu’ils sont baillonnés. Vous avez juste à lire la politique et vous allez voir que c’est pas cela!

Roch Cholette :  D’accord, alors dites-moi. Si un conseiller qui décide de me parler AVANT d’aviser le maire, parce que je vais la relire….   si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier DOIT en aviser, AVANT la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.

Conseiller Michel Lavigne :  Monsieur Cholette, voudriez-vous lire le paragraphe qui précède celui-là?

Roch Cholette :  Allez-y?

Conseiller Michel Lavigne :   Vous ne l’avez pas?

Roch Cholette :  Non! Je ne l’ai pas devant moi!

Conseiller Michel Lavigne :  Donc, vous ne l’avez pas lu?

Roch Cholette :  Non! Je ne l’ai pas lu

Conseiller Michel Lavigne : Bon, c’est l’article 5.2 :  La déclaration des membres du conseil:
À titre de participants aux décisions prises lors des  séances du conseil, chaque membre du conseil possède le privilège de faire des déclarations.  Toutefois, ces déclarations demeurent d’ordre personnel aussi longtemps qu’il n’a pas reçu le mandat officiel du maire de parler au nom de l’ensemble des membres du conseil municipal.

Roch Cholette : Ben oui, vous me parlez lors des réunions du Conseil. Ce n’est pas de cela que je parle, je parle des médias moi.

Conseiller Michel Lavigne : Non, non, je ne parle pas dans des réunions du conseil là moi. Ce qu’on vient de dire là, c’est que de parler au niveau des fonds publics là. Faut avoir le mandat pour parler au nom de l’ensemble, au nom de l’ensemble du Conseil

Roch Cholette : Quand un conseiller s’exprime, il ne parle pas au nom du Conseil.  Je suis d’accord avec vous mais ça veut pas dire qu’il faut qu’il avise le maire avant de parler. Moi, là, ma question, il doit aviser le maire avant la tenue de l’entrevue. On s’entend que c’est cela que ça qu’a dit la politique.  Ok, parfait.   Dites-moi Monsieur Lavigne, quelqu’un qui ne respecterait pas cela… qui me donne un entrevue SANS aviser le maire AVANT la tenue de l’entrevue, qu’est-ce qui arrive.

Conseiller Michel Lavigne : Ben, il arrive.. il arrive rien Monsieur parce que vous savez comme moi que c’est une politique de communication, c’est un espèce de parcours qu’on suggère aux gens.  La politique elle n’a pas de conséquence.  C’est cela, ce n’est pas un règlement.  On a passé un règlement à ce sujet-là. On propose comme dans toute politique, on propose une façon d’agir. C’est tout

Roch Cholette : Ah ok.. ah… Non…

Roch Cholette : Ah..ok.. ben dans le fond… c’est pas… bien… c’est-à-dire que c’est une politique qui s’applique pas.


Conseiller Michel Lavigne :  Ben dans le fond, ya personne de baillonnée… je m’excuse mais il n’y pas de dictature à Lac-Simon.  Pis là, vous sautez sur un exemple comme celui-là, un texte de 3 lignes pour venir nous dire qu’il y a de la dictature chez nous. Ben voyons donc.

Roch Cholette :  Monsieur Lavigne… Vous me le confirmer…  Vous me confirmer.. que c’est exactement… à mon sens pis je parle pour moi là.  C’est à mon sens, exactement la conséquence de votre politique.  Je suis content de voir qu’il n’y a aucune conséquence par exemple si quelqu’un ne la respecterait pas bien que.. est-ce que je comprends bien que chez vous, il y a des conseillers qui sont exclus du comité pléniers

Conseiller Michel Lavigne :  Oui, ya des conseillers chez nous qui sont exclus du comité pléniers

Roch Cholette : Dites-moi donc pourquoi?

Conseiller Michel Lavigne : Ben, je peux vous donner un peu l’historique de cela.

Roch Cholette :  Rapidement

Conseiller Michel Lavigne : Ben rapidement, je peux vous dire que ils sont venus, ben premièrement, quand on a établi le conseil en novembre 2003, à la première plénière, tout le monde a reçu, ben… les responsabilités au niveau des comités ont été distribués.  Ça bien fonctionné jusqu’en novembre 2004. Puis là, en novembre 2004, ya eu des plaintes qui ont été portées qui ternissaient la réputation puis qui jetaient un doute sur le maire et ses agissements.   Puis ya eu des plaintes qui ont été jugées non fondées.   Ces plaintes là ont été portés à l’intention. Ya eu une première plainte qui a été porté à l’intention de l’escouade Marteau puis qui sont revenus puis que c’était non fondée.  On est revenu à la charge avec une autre plainte à la SQ qui ont fait enquête très profond puis qui ont dit qu’il n’y avait aucune allégation et on a continué comme cela à vouloir faire des choses.  Puis on a participé à un article de la Gazette. J’espère que vous l’avez lu celle-là.  Qui venait dire que la municipalité de Lac-Simon et ses gens était un endroit ténébreux, un endroit ténébreux ou règne un climat d’intimidation, un endroit pour faire la fête et ou les comportements illégaux sont permis. et je cite encore, et je rajoute.. on craint que la SQ ferme les yeux et refuse d’agir. Alors, cela, c’était ce à quoi, ces deux conseillères-là ont participé à cet article-là.. Alors la confiance n’y était plus et ces personnes-là, le maire a décidé de les enlever parce que la confiance n’y était plus et il y avait des informations confidentielles prises en plénières qui n’étaient plus respectées.

Roch Cholette : Mais M. Lavigne.. la raison pour laquelle je vous pose la question c’est que vous me dites qu’avec la politique de communications, il n’y aura pas de conséquences si quelqu’un la briserait.  Moi, je vous pose la question, êtes-vous bien certain que vous n’allez pas simplement exclure quelqu’un qui ne respecterait pas la politique du caucus préparatoire?

Conseiller Michel Lavigne : Ben ben.. Pas dans le contexte de cette politique là.  Là c’est un cas…. Ben écoutez.. regardez… Faut regarder le cas dans son ensemble puisqu’est ce qui a découlé de cela.

Roch Cholette : Vous pourriez les menacer…

Conseiller Michel Lavigne : Ces personnes-là ont pas été exclues de cela conséquemment à la politique.

Roch Cholette : D’accord… je comprends mais est-ce que vous avez porté. est-ce que vous avez déposé une poursuite contre les deux conseillères qui auraient dites des faussetés

Conseiller Michel Lavigne :
Non! 

Roch Cholette : Ah bon… ok. Parfait.

Conseiller Michel Lavigne : Non! NOn

Roch Cholette : Merci beaucoup M. Lavigne!

Conseiller Michel Lavigne :
Ça m’a fait plaisir. Bonne journée

Roch Cholette : Oui, aurevoir!  ALors Michel Lavigne, il est conseiller municipal et responsable des communications à Lac-Simon.   À vous de juger!

Euh.. je vous relis le paragraphe…. Si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit en aviser, avant la tenue de l’entrevue, le maire qui, par son titre, est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d’assurer un meilleur suivi des dossiers.



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La nouvelle politique de communication de Lac-Simon crée des remous
Benoit Sabourin
26 avril 2016
Le Droit

La nouvelle politique de communication de Lac-Simon sème la division autour de la table des élus.

Un article du document fraîchement imprimé exigeant que les échevins avisent le maire Jacques Maillé avant d'accorder des entrevues aux médias suscite la grogne des conseillères Chantal Crête et Odette Hébert, les deux membres du conseil à avoir voté contre l'adoption de la nouvelle politique lors de la séance du mois d'avril.

Celle-ci résume les balises à respecter en matière de communication au sein de la municipalité de Lac-Simon. Les rôles des différents intervenants y sont notamment inscrits, tout comme les dispositions entourant les publications minicipales officielles.

C'est essentiellement le point suivant qui fait rager les élues Crête et Hébert: «Si un média communique directement avec un conseiller municipal, ce dernier doit aviser, avant la tenue de l'entrevue, le maire, qui par son titre est porte-parole de la municipalité, afin de lui permettre d'assurer un meilleur suivi des dossiers», peut-on lire dans le document.

De la censure, dit une élue

Ce passage a fait bondir la conseillère Hébert. «La petite clause que vous ajoutez à votre politique, ça ressemble tout simplement à de la censure, ou du contrôle de l'information, ou (c'est) pour bâillonner certains individus», a lancé cette dernière au maire Maillé en pleine séance du conseil.

Lac-Simon fait bien de se doter d'une politique de communication - surtout avec l'émergence des réseaux sociaux -, mais la clause en question brime le droit d'expression des élus, plaide Chantal Crête.

Celle-ci rappelle que Mme Hébert et elle sont exclues des comités et des plénières de la municipalité depuis octobre 2014. Le conseil avait évoqué un «lien de confiance brisé» pour justifier cette décision à l'époque. On faisait référence à la participation des deux élues à un reportage choc de la Montreal Gazette portant sur la vente du Domaine des Pères Sainte-Croix.

«Ça ne tient pas la route comme politique et je n'ai pas l'intention de m'y plier. Mon interprétation de la chose, c'est que ce n'est pas une interdiction de parler, mais c'est une étape de plus qu'on vient mettre pour rendre mon travail d'élue plus difficile à réaliser pour bien informer la population sur les sujets chauds», affirme Mme Crête.

Le maire réplique

Le maire Maillé se défend pour sa part de vouloir contrôler l'information émanant de Lac-Simon. Il affirme que ce type de procédé se fait ailleurs, dans d'autres administrations, afin d'assurer la bonne livraison de l'information. Sept-Îles et Saint-Colomban, dans les Laurentides, entre autres, disposent d'une politique similaire, dit-il.

«Il y a des conseillers qui ne connaissent pas tous les dossiers. [...] Ce qui est important, c'est de donner les bonnes informations aux médias pour bien informer. [Les conseillères] peuvent parler, mais c'est en leur titre personnel.» PLUS >>>

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