Le Domaine Valdie 321N est un projet résidentiel en nature, situé à St-André-Avellin, dans la Petite-Nation, en Outaouais.
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L'Auberge Petite-Nation subit une cure de jeunesse
Marie-Charlotte Paquette
4 janvier 2016
La Petite Nation
Après seulement quelques mois sur le marché comme reprise de finance, l'Auberge Petite-Nation a trouvé preneur, en janvier. C'est l'homme d'affaires Patrick Esmond qui a pris en mains l'endroit, pour la somme de 217 000$, ayant conclu une entente avec le Syndic de faillite.
L'auberge, ainsi que le pub qui est opéré par le propriétaire-locataire Yan Montagne ont été rénovés au cours du printemps et de l'été. L'établissement d'hébergement a ouvert ses portes cet été. L'ouverture du pub, maintenant appelé Le St-André est prévue pour la mi-janvier. Des spectacles y seront présentés régulièrement.
M. Esmond estime maintenant à près de 100 000$ les investissements ayant été requis pour effectuer le rajeunissement du bâtiment, soit 60 000$ de plus que la somme prévue lors de l'achat. Encore 50 000$ seront investis pour la rénovation du troisième étage, qui sera transformé en loft au cours de l'hiver. Par la suite, le propriétaire budgète entre 5000$ et 6000$ par an pour maintenir le bâtiment en état.
Cinq employés à temps plein travaillent en ce moment à l'auberge ou au pub. M. Esmond estime que trois autres emplois à temps partiel seront nécessaires, peut-être le double lors des soirs de spectacle. «Le Théâtre des Quatre-sœurs a laissé un gros vide à sa fermeture, déplore le propriétaire. Ce ne sera jamais pareil, parce que ce n'est pas le même type de salle, mais je pense que c'est réalisable.» Pour ce qui est du bar et café, un effort particulier sera déployé pour acheter localement, soutient M. Esmond, dont c'est la philosophie.
«Le but est de donner un service, souligne-t-il. On part la place et on veut que ça reste. Il faut que les gens nous encouragent.» L'accent sera mis sur les soirées 5 à 7 ainsi que sur les forfaits d'hébergement comprenant la location de skis ou de vélo. PLUS >>>
L'Auberge Petite-Nation a un nouveau propriétaire
21 janvier 2015
Radio Canada
Le nouveau propriétaire de l'Auberge Petite-Nation, située à Saint-André-Avellin, souhaite relancer les activités de l'établissement. Le bâtiment sera modernisé, afin d'accueillir plus de voyageurs.
L'homme d'affaires Patrick Esmond est l'ancien propriétaire du bar Coco Bongo, à Lac-Simon. Il prendra possession de l'immeuble le 24 février prochain et il assure que l'auberge demeurera un symbole de la région.
« Je rassure la mairesse que ça va rester. [...] On va développer un forfait ski de fond hébergement et l'été, avec vélos », précise-t-il.
En novembre dernier, la coopérative, qui faisait fonctionner l'auberge, a déclaré faillite. La dette accumulée avoisinait les 600 000 $, en plus d'un manque de liquidité à court terme d'environ 70 000 $.
Patrick Esmond croit néanmoins que l'acquisition de l'auberge est un bon investissement à court et à long terme.
« C'est un investissement de 217 000 $. J'ai environ 35 000 $ à 40 000 $ à mettre en investissement, au niveau du grenier, pour les chambres que je veux faire. À part ça, tout est fait, tout est neuf ici », explique-t-il.
L'auberge gardera son nom et comptera 19 chambres à coucher, dont quatre qui seront construites prochainement.
Des activités culturelles à relancer
L'auberge abritait un café bistro et présentait une cinquantaine de spectacles par année.
M. Esmond se veut rassurant pour les mélomanes : il a bien l'intention de poursuivre la vocation culturelle de l'auberge.
La nouvelle salle de spectacle pourrait porter le nom du Petit café de la Grange.
« On va agrandir un peu et il y aura des spectacles. D'après moi, on va faire un spectacle par mois pour commencer, on verra avec le temps », note-t-il.
L'Auberge Petite-Nation devrait ouvrir ses portes en mars. Le propriétaire donnera plus de détails sur les autres activités qui se dérouleront sur place, à partir du 1er juin. PLUS >>>
Benoit Sabourin
09 novembre 2014
Le Droit
Les problèmes financiers de l'Auberge Petite-Nation inquiètent la mairesse de Saint-André-Avellin, Thérèse Whissell.
«J'espère un miracle. C'est important pour le milieu.»
Mme Whissell a réagi vendredi au dossier de l'Auberge Petite-Nation. Le conseil d'administration de l'organisme a annoncé jeudi soir que l'endroit serait placé dès lundi sous la protection de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité. À partir de ce moment, le c.a. disposera de 30 jours pour effectuer une révision de ses états financiers. Par l'entremise d'un avis de proposition concordataire, la coopérative tentera de trouver un scénario rentable afin de convaincre ses créanciers de lui donner une chance de survie. Autrement, ce sera la fermeture définitive des portes.
Avec une dette totale frôlant les 670 000$, l'Auberge Petite-Nation fait face à un manque à gagner à court terme de 70 000$ pour l'année en cours.
«C'est une douche froide pour Saint-André-Avellin et pour la région. Nous n'avons pas de places pour loger les gens. L'Auberge avait des places d'hébergement. Nous allons loger notre monde à quel endroit? [...] Au niveau culturel, il y avait des spectacles. C'était un lieu de rassemblement pour les gens», déplore la mairesse Whissell, qui a frais en mémoire la fermeture du Théâtre des Quatre Soeurs en 2011. L'immeuble, acheté plus tôt cette année par la municipalité au coût symbolique de 1$, doit être rasé prochainement.
La municipalité de Saint-André-Avellin s'était engagée pour les cinq premières années d'opération de la coopérative de solidarité à offrir une subvention de 5000$ annuellement, rappelle la mairesse. La municipalité avait fait savoir au c.a. de l'organisme qu'elle continuerait à verser cette somme au moins pour 2015 puisque la situation financière était fragile.
Mme Whissell indique que les élus traiteront du sujet au cours des prochaines réunions de travail prévues en début de semaine. Considérant la conjoncture économique, elle ne voit toutefois pas comment Saint-André-Avellin pourrait contribuer davantage.
Situation «dramatique»
La préfète de la MRC de Papineau, Paulette Lalande, qualifie quant à elle de «dramatique» la situation et assure que les élus de la Municipalité régionale de comté se pencheront sur le dossier.
«Je souhaite profondément qu'on trouve ensemble une solution pour le garder. C'est essentiel pour chez nous, autant pour le culturel que pour le rassemblement de nos gens», a-t-elle indiqué.
Le prochain appel de projets pour le Pacte rural aura lieu en janvier et la question de la survie de ce dernier «bastion culturel» du territoire de Papineau sera abordée, même s'il pourrait être à ce moment trop tard pour sauver les meubles, a laissé entendre Mme Lalande. La fermeture coup sur coup du Théâtre des Quatre Soeurs et de Diffusion Petite-Nation est un signe que l'Outaouais requiert un «statut particulier» dans tous les domaines, soutient la préfète.
«L'Outaouais n'a jamais eu notre dû. On doit décréter un statut particulier.» PLUS >>>
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Le Coco Bongo risque de fermer ses portes
12 avril 2007
Le député de Papineau, Norman MacMillan, ne croit pas que la politique pourra renverser la décision de la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ) de ne pas renouveler le bail du bar Coco Bongo qui se trouve sur la plage à Duhamel depuis près de neuf ans.
Ce choix a été effectué en raison d’un changement d’orientation. En effet, les efforts de mise en marché du Centre touristique du Lac-Simon seront dorénavant orientés vers une clientèle beaucoup plus familiale.
Le gestionnaire du bar aux allures exotiques, Patrick Esmond, soutient que le Coco Bongo est familial. «Nous servons la boisson dans des verres de plastique et nous n’avons que deux haut-parleurs pour diffuser la musique. De plus, nous fermons chaque soir à 20h. Finalement, la plage est assez grande pour que les gens s’installent plus loin si mon établissement les dérange», souligne-t-il.
Celui-ci a fait circuler une pétition dans les bars, salons de bronzage et dépanneurs de l’Outaouais. En deux semaines, 12 800 signatures ont été amassées. De plus, l’avocat de M. Esmond a envoyé une mise en demeure à la SÉPAQ pour éviter la fermeture. Cependant, malgré ces tentatives, la SÉPAQ maintient sa décision. PLUS >>>
Le gestionnaire du bar aux allures exotiques, Patrick Esmond, soutient que le Coco Bongo est familial. «Nous servons la boisson dans des verres de plastique et nous n’avons que deux haut-parleurs pour diffuser la musique. De plus, nous fermons chaque soir à 20h. Finalement, la plage est assez grande pour que les gens s’installent plus loin si mon établissement les dérange», souligne-t-il.
Celui-ci a fait circuler une pétition dans les bars, salons de bronzage et dépanneurs de l’Outaouais. En deux semaines, 12 800 signatures ont été amassées. De plus, l’avocat de M. Esmond a envoyé une mise en demeure à la SÉPAQ pour éviter la fermeture. Cependant, malgré ces tentatives, la SÉPAQ maintient sa décision. PLUS >>>
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VOIR / LIRE
21 mai 2009
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