La Mine Wallingford-Back III:
Une Pétition et Page Facebook Lancée!
Petition Avaaz
Page Facebook
Wallingford Back Mine Drone
'A diamond in the rough': Canadians aim to save fantastical abandoned mine
The Wallingford-Back mine is facing demolition after a surge in tourism became a nuisance for residents, but petition intends to rally support to save site
5 October 2016
Guardian
It was once one of the largest mines in North America: a string of manmade caverns carved out along a seam of quartz, mica and feldspar deep beneath the forests of Québec.
Wallingford-Back mine closed for good in 1972, but in recent years, tourists and adventurers flocked to its cathedral-like void where enormous rock pillars reflected in the site’s turquoise waters.
Now, however, the mine is facing demolition after its sudden surge in popularity prompted complaints about noise, rubbish left behind and traffic issues.
“A diamond in the rough”, is how Chantal Crête describes the mine. She and a handful of others in the area have formed a group aimed at saving the mine, launching a petition to rally others to their cause.
Lured by local blogs which have likened the abandoned site to an underground cathedral or the backdrop of a fantasy novel, recent months have seen a spike in the number of visitors to the site some 35 miles north-east of Ottawa.
Hundreds made the trek this summer, heading down the narrow road that leads to the mine and overwhelming the 250 or so locals in the area. “There’s no toilet, no garbage, no place to sit, there’s no parking,” said Crête. “Of course it became a big nuisance for the people that reside in the area.”
Residents turned to local authorities to vent their grievances. The wave of complaints, said Crête, triggered an ultimatum from Québec’s ministry of energy and natural resources to the regional municipality of Papineau: either do something with the mine or it will be demolished.
The municipality is expected to decide on the mine’s fate in mid-October. The Québec ministry of energy and natural resources and the municipality of Papineau did not respond to interview requests.
Much could be done with the mine, said Crête. “It has a lot of historical value and cultural value.” She highlighted a museum of mining history as a potential use for the site.
Others who have joined forces with her to save the site point to its tremendous tourist potential. “It’s staring us in the face,” Paul Malouf said. “Dynamiting a site as beautiful as that – one that attracts so many people – it’s just an affront to common sense.”
The summer brings visitors to the site to swim, kayak and rock climb. In the winter, the mine has become an underground skating rink, he said, offering a year-round tourist attraction that could create jobs and bring hotels and restaurants to the rural area. The neighbours’ complaints could be alleviated by building another road into the mine from the federal lands that surround it.
Malouf said that reports commissioned on the mine have flagged structural issues, but he argued that all are manageable. “There are issues with the site, for sure. It’s an old mining site, you need to put grills on some of the rock formations because they chip away and even a small rock can hurt.”
In the coming days, the group is organising a tour of the mine for local politicians in hopes of showing them why it is worth protecting. “Some of nature’s beauties are natural. Sometimes they have a little help from man,” said Malouf. “And this one is a mine that’s cavernous and sits beside a lake and marshes. It’s stunning.” MORE >>>
De mijnsite van Wallingford-Back is niet voorzien op horde toeristen die het aantrekt
06//10/2016
De Morgen
Steeds meer mensen willen de mineraalrijke ondergrond waaruit de mijnen van Wallingford-Back gehouwen
zijn, met eigen ogen aanschouwen. Eén groot probleem echter: de grotten
zijn helemaal niet voorzien op zoveel toeristische aandacht. “Als het
zo verdergaat, zullen de grotten helemaal in verval raken.”
Ooit was het een van de grootste
mijnsites in Noord-Amerika: een reeks van met de hand gegraven spelonken
in een ondergrond van kwarts, veldspaat en andere glimmende
rotssubstanties, diep weggestoken onder de bossen van Quebec. In 1972
sloot de Wallingford-Back mijn voorgoed ‘de deuren’, waardoor de site
verlaten achterbleef. De laatste jaren lijken steeds meer toeristen en
natuurliefhebbers echter gretig hun weg terug te vinden tot in de
prachtige ondergrondse ruimtes, en dat is niet meteen goed nieuws.
Dat de mijnen van
Wallingford-Back plots in het vizier van de grote massa zijn geraakt,
lijkt de schuld van een aantal lokale blogs, die de site er aanprijzen
als een ‘ondergrondse kathedraal’ of ‘het perfecte decor voor een
fantasy-reeks’. Honderden kijklustigen daalden deze zomer onder dat mom
dan ook neder in de mijn om al die natuurpracht met eigen ogen te
bekijken. Maar op zulke grote getalen zijn de grotten helemaal niet
voorzien. “Er is geen toilet, geen ruimte om te zitten, geen parking. De
hele bedoening draaide uit in chaos en overlast voor de mensen die in
de buurt wonen”, laat buurtbewoonster Chantal Crête horen aan The
Guardian.
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10 choses à savoir jeudi
6 octobre 2016
Les Affaires
Cette incroyable mine québécoise est devenue une attraction touristique... pour le meilleur et pour le pire.
Le sort de la mine désaffectée de Wallingford-Back, située dans la municipalité de Mulgrave-et-Derry, au nord du secteur de Buckingham, suscite l’attention de plusieurs médias de la planète. Il n’y a toujours pas de consensus sur l'avenir de cette mine en dépit de la rencontre d’un comité spécial de la MRC de Papineau intervenue mercredi. Un comité de citoyens, Les Amis de la mine, veut que le site soit réaménagé pour y présenter un projet récréotouristique ou éducatif. Mais d’autres citoyens veulent en interdire complètement l’accès, afin d’arrêter le flot de visiteurs qui ne cesse de croître, écrit Radio-Canada. «Un diamant à l’état brut: des Canadiens tentent de sauver cette fantastique mine abandonnée», titre The Guardian. Le quotidien raconte l’histoire de cette mine aux cavernes forgées par les hommes sous les forêts du Québec. Wallingford-Back a été fermée en 1972, mais les touristes en quête de nouvelles aventures affluent vers ces énormes piliers rocheux qui se reflètent dans les eaux turquoises souterraines. Mais aujourd’hui, la mine est menacée de fermeture, car une partie des quelque 250 habitants locaux se plaignent du bruit et d’autres problèmes causés par les visiteurs. Le sort de ce joyau sous-terrain doit être décidé vers la mi-octobre. Dynamiter un site d’une telle beauté, un gâchis énorme? Le débat va certainement être déchirant. Et à voir la couverture médiatique qu’il suscite, il va certainement attirer beaucoup d’autres touristes internationaux!
Mine Wallingford-Back: aux élus de trancher
Benoit Sabourin
5 octobre 2016
Les 24 premiers magistrats de la
MRC Papineau devront trancher sur le sort de l'ancienne mine
Wallingford-Back, à Mulgrave-et-Derry, lors de la réunion publique du 19
octobre prochain.
Michel David, le président de la Table forêt de la MRC, le bras de
recommandations du gouvernement régional en matière de planification, de
développement et de l'utilisation des terres publiques
intramunicipales, a confirmé au Droit que les deux propositions
initialement prévues pour solutionner la problématique d'achalandage au
sein de l'ancien site d'extraction seront officiellement soumises à la
table des maires dans deux semaines.
C'est ce qui est ressorti de la rencontre tenue mercredi matin à Papineauville et à laquelle ont participé des représentants de la MRC, du bureau du député de Papineau, de la municipalité de Mulgrave-et-Derry et du ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles du Québec (MERN).
Les maires devront donc se positionner sur un éventuel dynamitage de la voûte de l'ancienne mine afin d'éliminer définitivement l'accès aux visiteurs ou sur le dépôt d'un projet de valorisation touristique des lieux.
« C'est sûr que si nous allons avec la deuxième option, ça impliquerait la préparation d'un plan d'aménagement et d'un cahier de charges pour faire un appel de projets. Si le conseil des maires va dans cette direction, il faudra qu'un échéancier soit établi et que le ministère puisse nous attendre, mais c'est certain que ça nous ferait gagner du temps », affirme M. David.
Celui-ci se fait d'ailleurs rassurant et précise que la crainte de voir la mine désaffectée être détruite incessamment n'est plus dans l'air. « Il n'y a pas d'ultimatum imposé par le MERN. Ils sont prêts à nous accueillir dans une démarche que nous serions prêts à entreprendre et il n'est pas question de détruire la mine dans les prochaines semaines. »
C'est le MERN qui est propriétaire du fonds de terre de l'ancienne mine qui ne cesse d'attirer des visiteurs bien qu'elle soit interdite au public. La clôture entourant le pittoresque site est constamment cisaillée. Québec réclame une solution rapide puisque l'endroit n'est pas jugé sécuritaire.
Un comité formé la semaine dernière par des citoyens de la Petite-Nation fait circuler depuis samedi une pétition en ligne afin de conserver intact le site concerné qu'ils qualifient de « joyau ».
Plus de 3400 signataires avaient déjà inscrit leur nom au document, mercredi soir. PLUS >>>
C'est ce qui est ressorti de la rencontre tenue mercredi matin à Papineauville et à laquelle ont participé des représentants de la MRC, du bureau du député de Papineau, de la municipalité de Mulgrave-et-Derry et du ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles du Québec (MERN).
Les maires devront donc se positionner sur un éventuel dynamitage de la voûte de l'ancienne mine afin d'éliminer définitivement l'accès aux visiteurs ou sur le dépôt d'un projet de valorisation touristique des lieux.
« C'est sûr que si nous allons avec la deuxième option, ça impliquerait la préparation d'un plan d'aménagement et d'un cahier de charges pour faire un appel de projets. Si le conseil des maires va dans cette direction, il faudra qu'un échéancier soit établi et que le ministère puisse nous attendre, mais c'est certain que ça nous ferait gagner du temps », affirme M. David.
Celui-ci se fait d'ailleurs rassurant et précise que la crainte de voir la mine désaffectée être détruite incessamment n'est plus dans l'air. « Il n'y a pas d'ultimatum imposé par le MERN. Ils sont prêts à nous accueillir dans une démarche que nous serions prêts à entreprendre et il n'est pas question de détruire la mine dans les prochaines semaines. »
C'est le MERN qui est propriétaire du fonds de terre de l'ancienne mine qui ne cesse d'attirer des visiteurs bien qu'elle soit interdite au public. La clôture entourant le pittoresque site est constamment cisaillée. Québec réclame une solution rapide puisque l'endroit n'est pas jugé sécuritaire.
Un comité formé la semaine dernière par des citoyens de la Petite-Nation fait circuler depuis samedi une pétition en ligne afin de conserver intact le site concerné qu'ils qualifient de « joyau ».
Plus de 3400 signataires avaient déjà inscrit leur nom au document, mercredi soir. PLUS >>>
Mine Wallingford-Back : les élus de Papineau analyseront la question le 19 octobre
Jessy Laflamme5 octobre 2016
La Petite Nation
Les élus de la MRC de Papineau devraient prendre une décision au sujet de l'avenir de la mine Wallingford-Back située à Mulgrave-et-Derry.
Pour ce qui est du site, il appartient au MERN et comme il présente un risque élevé pour la sécurité des personnes, il y a urgence d'agir. À titre d'exemple, le site est tellement populaire l'été qu'advenant un accident, les véhicules d'urgence ne réussiraient pas à passer. Toutefois, la MRC précise n'avoir jamais reçu d'ultimatum de la part du ministère. Ce dernier souhaite plutôt obtenir les recommandations du conseil des maires quant à l'avenir de la mine.
Un comité de la MRC de Papineau s'est penché sur la question hier matin pour soumettre des recommandations aux élus de Papineau. L'ingénieur forestier de la MRC de Papineau, Jean-François Larrivée précise que le comité essayera de gagner du temps pour trouver un projet récréotouristique pour la mine.
«Il y a une grosse problématique au niveau de l'achalandage et de la sécurité des lieux en ce moment. Ça fait quatre fois que la clôture est coupée et que les gens y vont même si ce n'est pas légal. On essaie de trouver des solutions à ce niveau», indique-t-il.
Selon le comité, il serait possible de lancer un appel d'offres pour trouver un promoteur désirant gérer le site.
Toutefois, ce sera aux maires de prendre une décision le 19 octobre concernant ce dossier. Rappelons que si un projet récréotouristique ne voit pas le jour à cet endroit, il se pourrait qu'une partie de la mine soit dynamitée afin de réduire l'accès aux visiteurs.
En attendant, la pétition initiée par le comité nouvellement créé, le regroupement des amis de la mine Back, continue à circuler. PLUS >>>
Rien n'est réglé au sujet du site de l'ancienne mine Wallingford-Back
5 octobre 2016
Radio Canada
Une rencontre du Comité multiressource de la MRC de Papineau
(Table forêt), mercredi, n'a pas permis de dégager un consensus sur
l'avenir de la mine désaffectée Wallingford-Back dans la municipalité de
Mulgrave-et-Derry, au nord du secteur de Buckingham.
Le Comité, qui a la responsabilité de gérer le site, s'est penché
sur deux options pour l'ancienne mine et a décidé de les renvoyer au
conseil de la MRC de Papineau.Un comité de citoyens, Les Amis de la mine, veut que le site soit réaménagé pour y présenter un projet récréotouristique ou éducatif. On parle, entre autres, d'un musée sur les mines.
Mais d'autres citoyens veulent en interdire complètement l'accès, afin de stopper le flot de visiteurs qui ne cesse de croître, et qui est source de nuisance pour le voisinage.
Le ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles (MERN), qui est propriétaire du terrain, était également à cette rencontre.
Le MERN souhaite une décision rapide, puisqu'il affirme que le site n'est pas sécuritaire.
Il y aurait, entre autres, dangers d'effondrement de la voute rocheuse au-dessus du lac intérieur.
Le président de la Table forêt, Michel David, affirme que le MERN va appuyer la MRC de Papineau, quelle que soit la décision.
Les Amis de la mine font valoir l'aspect pittoresque de l'ancienne mine qui comporte quatre piliers rocheux et un lac intérieur aux eaux cristallines émeraude prisé des plongeurs l'été et des patineurs l'hiver.
Le groupe a lancé une pétition pour la sauvegarde du site qui a recueilli, en quelques semaines, 3000 signatures.
Martine Caron, une porte-parole du groupe, souhaite que les décideurs étudient à fond l'option de la mise en valeur du site. PLUS >>>
Dale Benton
5 October 2016
Mining Global
When a mine closes, sometimes it’s for good. We have looked at some of the world’s most interesting closed mines and the stories behind them, be it a ghost town, untouched since the shutters came down or a tourism spot, allowing the general public to marvel at the cultural and historical significance of the one-time mines.
In Western Quebec there is one closed mine that is a hot topic of conversation. The Wallingford-Back Mine, closed in 1972, has become something of an unofficial tourist attraction.
Accessible by snow-shoe, cross country ski, and hiking trails, visitors flock to the mine to skate on the frozen lake during the winter, and hike, rock climb, scuba dive and in some cases zip line.
The catch is however, that due to the dangers presented by the mine (difficult terrain, cracks in unstable rock, no telephone reception) the Quebec Ministry if Energy and Natrual Resources have threatened to demolish the mine in 2017 if the regional municipality of Papineau does not invest money and secure it from trespassers.
A petition has been launched by supporters of the mine, to save the “undeniable richness not only for the Outaouais region, but also for all of Quebec”.
Chantal Crête, one of the founders of a group devoted to preserving the mine, believes that demolition is not the answer, as the high footfall of visitors could easily justify it becoming an official tourist site or museum.
What is the Wallingford-Back-Mine?
Located around 60 kilometres’ northeast of Ottawa, Canada
The mine was discovered in 1924 by an unnamed prospector. The feldspar and quartz deposit was rumoured to have been sold to George Wallingford, for a bag of potatoes.
That same year, Wallingford sole the rights to the mine to the Canadian Flint and Spar company for a bit more than a bag or potatoes, $12,000 in fact.
It was acquired in 1939 by Consolidated Feldspar, before the International Mineral and Chemical Corporation came in and acquired it (again).
By this point, the Wallingford Back-Mine was the largest mine in North America, with 225,000 tons of feldspar and 150,000 tons of quartz.
The mine was closed in 1972 MORE >>>
Growing debate over what to do with abandoned Western Quebec mine
October 4, 2016
CTV Ottawa
There is a growing debate in Western Quebec over what to do with an abandoned mine that is rapidly increasing in popularity.
The Wallingford-Back-Mine is the newest tourist attraction, but the locals in the Municipality of Mulgrave-et-Derry say the attention is unwanted.
CTV Ottawa showcased the mine last winter, after being invited to a hockey game organized inside the picturesque cavern. Since, residents say hundreds of people have been coming by to see one of Mother Nature’s treasures.
Jean-Marie Duchamps, who lives in the Gatineau hills, says the area is not built for the hundreds of new visitors, and that there are no properly paved roads, no garbage cans, or parking lots to support tourists.
Duchamps says as a result people are littering, and parking off to the side of small dirt roads, preventing other vehicles from passing.
According to residents, there are a few solutions being discussed.
The first includes turning the Government owned mine from private to public, and then having the municipality create proper roads that lead up to it. While option two is to get rid of the mine all together, by blowing it up.
Activists say collapsing the mine is out of the question.
“We have to do something! It is such a beautiful site, and it has so much potential. It has historical potential, recreational potential,” said Chantal Crete, who is fighting to keep the Wallingford-Back-Mine.
There is a meeting scheduled Wednesday to further discuss what to do with the mine. MORE >>>
La pétition visant à sauver la mine Wallingford-Back, dans le secteur Mulgrave-et-Derry, continue de prendre de l'ampleur.
Plus de 2 000 personnes appuient le document mis en ligne dans les derniers jours par un regroupement de citoyens qui veut sauvegarder l'ancienne mine.
Rappelons que Québec envisage de démolir l'endroit si la MRC Papineau ne sécurise pas et n'aménage pas adéquatement le site afin de recevoir les nombreux visiteurs qui se rendent sur place depuis la dernière année.
Le conseil des maires de la MRC Papineau doit d'ailleurs statuer sur le sort de cette mine plus tard ce mois-ci.
Vous trouverez le lien vers la pétition en cliquant ici.
Petition launched to save scenic Quebec cave from demolition
The abandoned mine has become a huge tourist attraction, bringing people from as far as Toronto and Montreal.
Haley Ritchie
October 4, 2016
Metro Ottawa
An abandoned Quebec mine that’s been described as an “underground cathedral” is at risk of being demolished after its popularity has resulted in trash, parking issues and angry locals.
A sudden influx of breathtaking Instagram pictures and YouTube exploration videos has increased the location’s number of visitors. But the site – roughly an hour's drive from Ottawa – isn’t equipped to deal with hundreds of people, and all the garbage, broken bottles, cars and human waste have left locals frustrated.
The response has been a crackdown on trespassers and a final notice from Quebec’s Ministry of Natural Resources directed at officials in the Papineau region.
The ministry says a tourist plan needs to be created quickly, or the mine will be dynamited for safety reasons.
Chantal Crête doesn’t want to see that happen. She’s created a petition to spread the word and said the “Friends of the Mine” group has been surprised by the huge response.
“You know at first we were very concerned and very sad about the whole situation, but looking back now, perhaps the threat of dynamite is the best thing that could happen to it,” said Crête. “In the sense it woke people up.”
“It’s such a spectacular place. There’s no way we can let that unique place be destroyed. It has so much potential,” she said.
Crête recognizes the current issues with the site, but wants to see some investment to make it tourist friendly and give it a geological heritage designation.
“My heart goes to the people living there, really. If I was a citizen there I’d probably have been one of the first to denounce the situation,” said Crête. “But we’re smart enough to sit around the table and find some solutions. There’s a way to do so in respect to the people that live around there and the respect of the environment too.” MORE >>>
Save 'breathtaking' west Quebec mine from demolition, petition urgesPlus de 2 000 personnes appuient le document mis en ligne dans les derniers jours par un regroupement de citoyens qui veut sauvegarder l'ancienne mine.
Rappelons que Québec envisage de démolir l'endroit si la MRC Papineau ne sécurise pas et n'aménage pas adéquatement le site afin de recevoir les nombreux visiteurs qui se rendent sur place depuis la dernière année.
Le conseil des maires de la MRC Papineau doit d'ailleurs statuer sur le sort de cette mine plus tard ce mois-ci.
Vous trouverez le lien vers la pétition en cliquant ici.
The abandoned mine has become a huge tourist attraction, bringing people from as far as Toronto and Montreal.
Haley Ritchie
October 4, 2016
Metro Ottawa
An abandoned Quebec mine that’s been described as an “underground cathedral” is at risk of being demolished after its popularity has resulted in trash, parking issues and angry locals.
A sudden influx of breathtaking Instagram pictures and YouTube exploration videos has increased the location’s number of visitors. But the site – roughly an hour's drive from Ottawa – isn’t equipped to deal with hundreds of people, and all the garbage, broken bottles, cars and human waste have left locals frustrated.
The response has been a crackdown on trespassers and a final notice from Quebec’s Ministry of Natural Resources directed at officials in the Papineau region.
The ministry says a tourist plan needs to be created quickly, or the mine will be dynamited for safety reasons.
Chantal Crête doesn’t want to see that happen. She’s created a petition to spread the word and said the “Friends of the Mine” group has been surprised by the huge response.
“You know at first we were very concerned and very sad about the whole situation, but looking back now, perhaps the threat of dynamite is the best thing that could happen to it,” said Crête. “In the sense it woke people up.”
“It’s such a spectacular place. There’s no way we can let that unique place be destroyed. It has so much potential,” she said.
Crête recognizes the current issues with the site, but wants to see some investment to make it tourist friendly and give it a geological heritage designation.
“My heart goes to the people living there, really. If I was a citizen there I’d probably have been one of the first to denounce the situation,” said Crête. “But we’re smart enough to sit around the table and find some solutions. There’s a way to do so in respect to the people that live around there and the respect of the environment too.” MORE >>>
Tourists have flocked to remote Wallingford-Back Mine over past year, annoying residents
Trevor Pritchard
October 4, 2016
CBC News
A scenic, off-limits mine in western Quebec that's seen an influx of visitors over the past year could end up being demolished if a campaign to save it is unsuccessful.
The Wallingford-Back Mine, located approximately 60 kilometres northeast of Ottawa, has become a popular spot for paddlers, ice skaters and explorers, all drawn to its pristine turquoise waters and imposing rock pillars.
However, Quebec's Ministry of Energy and Natural Resources has issued an ultimatum to the regional municipality of Papineau, Que.: either invest money to secure the mine from trespassers, or demolish it.
In response, supporters of the mine launched a petition this weekend calling upon the site to be protected for its "undeniable richness, not only for the Outaouais region, but also for all of Quebec."
The petition had about 1,800 signatures by Monday afternoon.
"A lot of people compare the mine to an underground cathedral because it is so beautiful," said Chantal Crête, one of the founders of a group devoted to preserving the mine.
"It's really breathtaking when you're there."
Closed since 1972, the Wallingford-Back Mine was once one of the largest quartz, mica and feldspar mines of its kind in North America.
Nearby residents, however, have complained about the noise, garbage and traffic problems generated by the recent arrival of hundreds of tourists to the mine, spurred on by postings on social media and on travel websites about its natural beauty.
"Since this summer, it's madness," said Jean-Marie Duchamp, who lives near the mine, in an interview with Radio-Canada last week. "Everyone wants to go to the mine."
Papineau's council is expected to make a decision about the mine's fate at a meeting on Oct. 19. Some local politicians, like Saint-Sixte, Que., Mayor André Bélisle, have told Radio-Canada that two weeks isn't enough time to come up with a plan for the site, however.
No one from Quebec's Ministry of Energy and Natural Resources was available for an interview Monday.
'Historical potential'
Crête acknowledges that the mine isn't designed to handle huge numbers of visitors, as the only road in is a narrow thoroughfare intended to be used by the cottagers and rural residents who live there.
But she says there are better options out there than simply demolishing the mine — in part because the land behind the mine is federally-controlled and could be used to create a different access point.
She said she's planning to take local public officials on a tour of the mine ahead of the Oct. 19 meeting.
"It's got a lot of historical potential. It could become a museum site for [mining] history in Canada," said Crête.
"Our objective right now [however] is not to talk about projects. Our objective right now is to save the mine." MORE >>>
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Une pétition lancée pour sauver la mine Wallingford-Back
Louis-Charles Poulin
1 octobre 2016
La Petite Nation
Un regroupement de citoyens nommé «Les amis de la mine Back» a mis en ligne une pétition intitulée «Sauvons le magnifique site de l’ancienne mine Wallingford-Back».
L’objectif de l’initiatrice de la pétition, Chantal Crête, est d’obtenir 5000 signatures pour ensuite envoyer la pétition au Ministère de l’Énergie et des Ressources Naturelles et aux élus de la MRC de Papineau. «On veut que la population prenne conscience des menaces qui pèsent actuellement sur la mine et aussi sensibiliser les décideurs», explique Mme Crête qui est conseillère municipale à Lac-Simon.
Dernièrement, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles a donné un ultimatum aux intervenants concernés par ce site. Les élus de la MRC de Papineau doivent proposer un projet récréotouristique rapidement ou sinon la mine devra être dynamitée pour empêcher au public d’y accéder pour des raisons de sécurité. «Actuellement, notre priorité c’est vraiment d’empêcher sa démolition», explique celle qui est impliquée au sein des amis de la mine Back.
Mme Crête invite les gens à visiter la page Facebook «Les amis de la mine Back» où des rapports sont disponibles concernant le potentiel récréotouristique et la sécurité de l’endroit. «Elle a un grand potentiel de développement tant sur le plan culturel, historique, scientifique. Il n’existe pas de musée minier canadien et ça pourrait devenir un excellent endroit pour en faire un. Le musée pourrait relater l’histoire de l’industrie minière au Canada et comment ç’a contribué au développement de plusieurs régions.»
Le président de la Table forêt de la MRC de Papineau, Michel David, trouve important que tout le monde puisse exprimer leur point de vue. «Je n’ai pas de parti pris. Je veux que tout le monde ait la possibilité de s’exprimer pour ensuite prendre la meilleure décision», fait savoir celui qui doit faire des recommandations sur la situation au Conseil des maires du 19 octobre. C’est à ce moment-là que le gouvernement aimerait avoir une réponse claire à son ultimatum. «Pour l’instant, le plus important est d’essayer de gagner du temps pour voir s’il est possible de trouver un promoteur», fait savoir M. David qui ajoute qu’une rencontre sur le dossier est prévue le 5 octobre.
Prochainement, Les amis de la mine Back souhaitent organiser une visite de l’endroit qu’ils désirent sauver avec des élus et des représentants des médias. PLUS >>>
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Sauvons la mine Wallingford-Back ! 1 octobre 2016
Géo-Outaouais
On parle de dynamiter la mine Back-Wallingford (ou Wallingford-Back, selon les sources) située dans les collines boisées au nord de Buckingham, dans l'Outaouais.
Détruire la mine Back-Wallingford, c'est détruire un irremplaçable vestige de l'histoire minière de la région, c'est détruire une cathédrale souterraine.
Depuis son abandon en 1972 et son ennoyage, la mine de feldspath est devenue un lieu privilégié par les amateurs de plongée sous-marine. La vaste et profonde profonde galerie artificielle qui s'enfonce jusqu'à 240 m sous terre, les immenses piliers de pegmatite claire (photo), les jeux de la lumière passant par les ouvertures de la voûte, l'endroit valait le déplacement et, même sans plonger, le coup d’œil. Plongées et visites au sec se faisaient dans l'illégalité la plus parfaite, il faut bien l'avouer...
La mine a connu un brusque surcroît de popularité cet été, les chemins ruraux, louvoyant à travers les collines et conçus pour un usage local et restreint, ne suffisent plus aux flots des voitures. Les résidents du secteur n'en peuvent plus de l'invasion qu'ils subissent et du comportement des visiteurs. Je comprends parfaitement leur exaspération. Mais il n'y aurait pas d'autres solutions que la destruction ?
Voir «Mulgrave-et-Derry victime de la popularité d'une mine abandonnée», Benoît Sabourin, LeDroit, 25 août 2016.
Voir aussi «Une ancienne mine de l'Outaouais menacée d'être dynamitée», Radio-Canada, 28 sept. 2016.
Sites géologiques exceptionnels
Entre novembre 2010 et février 2011, en collaboration avec Daniel Martel, du MRNQ, j'avais collaboré à la rédaction de fiches de propositions de SGE (sites géologiques exceptionnels) pour l'Outaouais. La plupart des propositions sont maintenant affichées sous l'appellation «Sites proposés». (Étape qui précède celle de «Site à l'étude» qui mène – on l'espère – à l'inscription définitive parmi les SGE.) Ces propositions concernent la discordance du lac Beauchamp, la sablière de Cantley, la marmite des Allumettières (ainsi nommée par votre serviteur) et... la mine Back-Wallingford de Buckingham. (Les stromatolites du pont Champlain ont été inscrits parmi les SGE, mais je n'y suis pour rien.)
Comme le site des SGE est en révision, j'ignore à quelle étape en sont ces dossiers. Pourrait-on ranimer celui de Back-Wallingford ? AJOUT (2 oct. 2016) - Il me revient à la mémoire que le Ministère avait enregistré la demande d'inscription de la mine aux SGE provenant d'un autre citoyen plutôt que la mienne (conversation téléphonique, 2013). Ce n'est sans doute pas mon nom qui apparaît au dossier, ce dont je ne me soucie d'ailleurs pas du tout. L'important est qu'il y a eu au moins deux demandes à l'époque. De qui provient l'autre ?
Extrait de ma demande d'enregistrement de la mine parmi les SGE
La mine de feldspath Back-Wallingford, qui a été active de 1924 à 1972, est creusée dans un large dyke de pegmatite qui recoupe des quartzites et des paragneiss grenvilliens. L’intrusion forme une éminence au nord d’un petit lac. On y trouve du microcline blanc, de l’albite verdâtre (cristaux de 1,5 m de diamètre), du quartz vitreux ou fumé, ainsi que de rares minéraux radioactifs (allanite, uraninite, thucholite). Le gisement a d’abord été exploité à ciel ouvert, puis par une série de gradins (6 m) qui s’enfoncent jusqu‘à 240 m sous terre. Les travaux ont formé une immense voûte soutenue par des piliers résiduels qui donnent à la mine l’aspect d’une cathédrale. Maintenant ennoyée, la mine est un site de prédilection pour les clubs de plongée sous-marine. La lumière du jour qui entre par les ouvertures multiples, les larges piliers qui émergent de l’eau turquoise et se perdent dans l’ombre de la voûte lui confèrent une allure fantasmatique mise à profit par les photographes. Le relatif isolement de ce joyau l’a préservé jusqu’ici.
Extrait de mon billet «Histoire minière de l'Outaouais (2)».
Mentionnons les deux sites principaux (d'exploitation du feldspath), ceux de la mine Back ou Wallingford (1924-1971) et de la mine Derry (1920-1969), toutes deux à Glen Almond, au nord de Buckingham. Si la plupart des gisements étaient attaqués à ciel ouvert, on a recouru dans leurs cas à des puits et des galeries souterraines. Le feldspath dentaire (dental spar), de qualité supérieur – il s’agit de microcline blanche sans impureté –, sert à la fabrication de dents artificielles. Jusqu’en 1930, date de l’ouverture d’un atelier à Buckingham pour broyer le feldspath et le quartz, la totalité de la matière extraite était expédiée à l’état brut à l’étranger, en premier lieu aux États-Unis.
À la mine Back ainsi qu’à la mine Villeneuve, au nord de Notre-Dame-de-la-Salette, se trouve de la péristérite, variété de feldspath sodique (ou plagioclase) pouvant être utilisée comme pierre gemme. Depuis 2002, dans le même secteur, Dentsply Canada ltd opère la mine Othmer et exploite une pegmatite pour le feldspath potassique.
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La mine Back-Wallingford : un patrimoine à sauver des TalibansPascal Samson
1er octobre 2016
En caricaturant, le gouvernement du Québec prend la place des Talibans avec la mine Back-Wallingford. On se remémore tous la destruction des trois bouddhas de Bâmiyân en 2001, en Afghanistan, pourtant classé site du patrimoine mondial de l’Unesco. C’est un peu ce qui va nous arriver si le gouvernement y va de l’avant avec son intention de dynamiter la mine Back-Wallingford à moins de travailler ensemble pour mettre ce site exceptionnel en valeur au lieu d’y aller de cette façon aussi radicale.
En ma qualité de guide biologiste spécialisé dans la faune cavernicole (chiroptères) et la protection de sites souterrains, je suis, comme beaucoup de gens impliqués, inquiet du sort futur de la mine ou, avant qu’elle ne connaisse le ‘’succès’’ de cet été, j’y amenais des groupes dans une structure très encadrée et responsable.
La mine Back-Wallingford était une mine d’exploitation de feldspath qui a cessé ses opérations au début des années 1970. Le site est abandonné depuis et a été sécurisé au moyen de clôtures dans les années 1990 et plus récemment cet automne par le Ministère des Richesses Naturelles et des Forêts (MNRF). Le site est donc, en principe, une propriété ministérielle gouvernementale mais les accès sont de nature privée ou municipale.
Physiquement, cette mine magnifique se présente comme une vaste excavation à ciel ouvert s’ouvrant sur le sommet d’une colline. Une partie de la mine est souterraine et renferme un lac semi-souterrain, long de 110m et profond de 48,8m. La voute, haute de 33.9 m, surplombe le lac et est soutenue par trois gigantesques piliers qui donnent à la mine un aspect de cathédrale. Plusieurs ouvertures permettent la pénétration de la lumière de sorte qu’il y a toujours présence de clarté dans toute la longueur de la mine. La jonction d’une mine voisine (mine du lac Smith), permet de parcourir à pied la partie véritablement souterraine de la mine et on peut y ressortir de l’autre côté.
La géologie de la mine contient des échantillons de roches et de minéraux intéressants et rares (Bytownite, feldspath, scheelite …etc), en tout, une quarantaine de minéraux d’intérêt. La mine sert également de site d’hibernation potentiel aux chauves-souris qui sont bien mal en point en raison de la maladie du museau blanc qui les déciment. C’est aussi un site de nidification pour les corbeaux (2 nids), d’hirondelles bicolores et d’hirondelles rustiques. Certaines de ces espèces sont considérées susceptibles d’être vulnérables ou menacées. Les formations de glace présentent un intérêt unique pour la recherche universitaire puisqu’elles adoptent des formes et des motifs sans autres exemples dans la province en raison des conditions micro-climatiques particulières qu’on y retrouve. Pour sa grande beauté, la mine est également une inspiration pour les photographes professionnels et le lac est régulièrement visité par des plongeurs.
Pour toutes ces raisons, le site était considéré comme une attraction touristique locale mais sans grand dérangement avant que les médias n’en fassent en 2016 une destination secrète bien cachée incontournable et spectaculaire. Et ce fut la catastrophe. Des centaines, voire des milliers de visiteurs en ont fait une sorte de ‘’Woodstock’’ en Outaouais et on a vu se multiplier les pires bêtises humaines pour un site qui n’était vraiment pas préparé à recevoir autant de gens. Les résidents en ont vu de toutes les couleurs et on a assisté à de nombreux actes et comportement inappropriés qui ont fini par les exaspérer au point qu’ils désirent voir la mine disparaître au plus vite pour retrouver leur tranquillité.
Comme beaucoup de gens, je m’oppose sans retenue à la disparition de ce joyau de l’Outaouais mais je suis conscient que la situation ne peut rester telle quelle était. Un certain nombre de pistes pour la mise en valeur de la mine pourraient être suivies comme examiner la possibilité de tutelle de la mine Back-Wallingford avec d’autres organisations québécoises qui ont mis en valeur des sites similaires (comme la mine Capelton, en Estrie, ou en Abitibi par exemple). Ceci pourrait aussi se faire avec des partenaires américains ou ontariens qui exploitent touristiquement des sites qui ressemblent à notre mine mais qui sont beaucoup plus riches et expérimentés pour la mettre en valeur de façon rentable et responsable. Ceci permettrait de garder notre mine pour le bien de notre patrimoine futur et nos enfants. On pense ainsi à des sites comme Ruggle’s Mine au Vermont ou Bancroft en Ontario.
Le site étant difficile d’accès en raison des côtes abruptes mal aménagées et passant près des résidences, il serait sans doute très facile de songer à une voie de contournement qui permettrait de se rendre au pied de la mine et aménager des stationnements sur les espaces qui sont déjà existants. Ceci permettra aux résidents de retrouver la paix et continuer à jouir de leur environnement. Un centre d’accueil et d’interprétation permettrait de contrôler l’accès et d’initier les visiteurs à l’histoire et la géologie de la mine. Ce centre pourrait facilement opérer sur une base annuelle car la mine est aussi spectaculaire en hiver qu’en été. D’autres options pourraient aussi se développer de façon sécuritaire sur place puisqu’il y a amplement de place : camping, canot-kayak, piste cyclable, plongée sous-marine, aires de baignade, escalade, etc… Il faudra bien sûr sécuriser le site, offrir des casques et sans doute limiter l’accès à certaines parties de la mine.
J’ai proposé de faire une étude détaillée de mise en valeur qui pourrait permettre de répondre à toutes les questions et donner un choix éclairé sur le type de développement et de partenariat qu’on veut y voir à l’avenir. L’implication des citoyens, la bonne volonté ministérielle – un vœu pieux - une démarche rigoureuse et une mise de fond substantielle de départ seront les prémices de base pour la réussite du projet.
Avec l’engouement qu’a connu la mine Back-Wallingford cet été, il ne fait pas de doute que la protection et la mise en valeur de la mine pourrait être un modèle récréotouristique majeur et rentable pour l’Outaouais que bien des gens nous envieront. Ne laissons pas échapper cet autre trésor et qu’on fasse, pour une fois, un projet unificateur qui sera la fierté de tout le monde. Laissons à nos enfants un monde meilleur que nous, les parents, avons connus.
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